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    L’apparition télévisuelle de Myriam Pougetoux, responsable de l’UNEF pour Paris-IV portant le hijab, relance le débat autour du port du voile. Je vous propose de remonter à la source du problème : pourquoi ces femmes se voilent-elles ?

     

    Nul besoin d’être un observateur aguerri pour remarquer la croissance progressive du nombre de femmes vêtues d’un voile islamique. Certes, certaines zones de ce doux pays sont encore préservées : l’Île-de-France, par exemple, a une structure en damier qui définit des quartiers où très peu de femmes sont voilées et d’autres où très peu ne le sont pas. En province, la situation est plus homogène, les pôles dynamiques tels que les hypermarchés sont les mêmes pour tous et chacun peut davantage se rendre compte de l’étendu du désastre. Pourquoi parlé-je de désastre ? Non que je me replie dans une xénophobie primaire, j’ai tenté d’analyser les raisons qui amènent toutes ces femmes à se voiler. J’en ai répertorié, grossièrement peut-être, trois principales jusqu’ici. Et où que je tourne mon regard, le tableau est bien sombre.

    Le voile par contrainte

    Cela peut paraître une tarte à la crème, mais une piqure de rappel ne fait de mal à personne de temps à autres. Il s’agit ici d’un phénomène que nul ne peut nier. Il existe, au sein de ce pays, des femmes à qui la pression sociale impose ce vêtement rétrograde, poussées par leurs familles, les habitants de leurs tours, de leurs quartiers, sous peine d’humiliation, d’insultes, de déchéance, de violence même. Personne ne peut se satisfaire d’une telle situation dans le « pays des droits de l’Homme », comme on nous le répète jusqu’à l’usure. Ces droits là n’existent pas quand le sectarisme et le communautarisme prennent le pas sur la nation, quand la Charia prévaut sur le législateur et quand la volonté politique de bousculer les choses est inexistante. Ces jeunes femmes sont des oubliées de notre pays qui les laisse aux mains de l’aliénation rigoriste sans piper mot.

    Le voile par pudeur

    C’est ici que les choses commencent à devenir intéressantes. Il n’est pas rare d’entendre, de la bouche des défenseurs résolus du voile ou de leurs porteuses, qu’il s’agit là d’un acte de pudeur. Hijab ne signifie-t-il pas d’ailleurs « dérober aux regards ». Une musulmane me confiait en 2016 lors de la polémique sur le burkini que ce maillot de bain intégral était pour elle une opportunité de pouvoir se baigner sans se sentir oppressée par le regard des hommes. Dans ce cas, c’est formidable ! Ce vêtement permet à chacune de mieux vivre sa pudeur, n’est-ce pas génial ? Non. La pudeur est un principe acquis, une construction sociale qui dépend de la tradition et du contexte dans lesquels on évolue. Ne naissons-nous pas tous dans le pêché de la nudité ? Dès lors, le fait que ces personnes aient une pudeur exacerbée démontre le décalage entre une France historique et une France islamisée. En ce sens, le voile constitue un marqueur de différenciation, la partie immergée de l’iceberg des différences culturelles profondes qui déchirent le pays, la preuve que l’assimilation n’a pas eu lieu, que le vivre-ensemble est une douce utopie au vu de la situation présente. Dans leur comportement, ces françaises n’ont de français que le nom tant leurs valeurs se rapprochent, hélas, de celles du Proche-Orient.

    Le voile par provocation

    Le prosélytisme religieux est un fait désormais bien connu. Le voile n’est pas qu’un simple tissu, c’est une marque d’appartenance, un élément ostentatoire qui tend à attirer le regard plus qu’à le détourner. Si en Islam, les femmes doivent se faire discrètes, pourquoi porter le hijab dans un pays ou la majorité n’en porte pas ? C’est inévitablement se faire remarquer. Il y a donc une démarche qui dépasse l’aspect confessionnel et qui vise à accroître la visibilité de sa porteuse pour faire passer un message clair : « je suis là, mes convictions sont telles, et la France doit s’y habituer ». Pour moi, Myriam Pougetoux appartient à cette catégorie : ne nous voilons pas la face, l’UNEF n’a pas choisi sa représentante par hasard. Il y a fort à parier que c’est précisément dans l’optique de mettre en avant la « diversité » et pour s’opposer frontalement au modèle traditionnel français que cet étendard islamiste a été désigné. J’en parlais furtivement dans une précédente tribune.

     

    Je serais bien incapable d'estimer la proportion que représente chacune de ces catégories, aussi je ne m'y essaierai pas. Néanmoins, aucune n’aboutit à mes yeux à une conclusion positive sur ce qu’elle démontre et le présage qu’elle constitue.

    J’abhorre donc ce voile qu’elles arborent.


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    Le "dioxyde de titane" est utilisé pour blanchir des aliments, des confiseries ou des médicaments. Ce produit, appelé aussi E171, présenterait un risque cancérigène.

     

    A l'origine, il s'agit d'un minerai présent dans la nature : on l'utilise dans les montres, les ordinateurs, les avions pour sa résistance à l'érosion.

    Pour transformer ce minerai en poudre, on verse de l'acide, puis il est broyé en particules très fines, invisibles à l'oeil nu : des nanoparticules...

    Une étude publiée en janvier 2017 par l'Institut national de la recherche agronomique avait mis en évidence la nocivité de l'E171. "Menée sur des rats, elle démontrait que l'absorption de cette substance représente un danger pour les êtres vivants. Une fois ingéré, le dioxyde de titane passe au travers de la paroi de l'intestin pour finir par se retrouver dans l'organisme, entraînant des troubles du système immunitaire. Une exposition régulière à ce produit induit l'apparition de lésions précancéreuses pour le rongeur."

     

    Cet additif se présente sous la forme d'une poudre composée de nanoparticules, employée pour blanchir et nacrer des dentifrices, des crèmes cosmétiques, des dentifrices ou encore, des confiseries et de nombreux aliments préparés.

     

    Cet additif est partout, même là où on ne le soupçonnerait pas... et même dans des médicaments qui sont normalement faits pour soigner.

     

    Comment les laboratoires peuvent-ils utiliser des produits toxiques pour fabriquer des médicaments ?

    Où est la cohérence ? A moins que les laboratoires soucieux de leurs chiffres d'affaires ne veuillent générer de nouvelles maladies afin d'engranger toujours plus de profits !

    Une stratégie machiavélique dans un monde où l'argent est roi, dans un monde où on fait fi de la santé des gens...

     

    Que deviennent l'éthique, la morale quand des labos créent des médicaments remplis d'additifs délétères ?

    Et que penser des industriels de l'agro-alimentaire qui intègrent des produits nocifs dans des confiseries pour enfants ?

     

    Sont ainsi impactés des organismes particulièrement fragiles : des enfants, des malades.

    Les labos devraient recevoir injonction de fabriquer des médicaments sans polluants...

    Mais les industriels se soucient fort peu de la santé des consommateurs, et ce, dans de nombreux domaines.

    Certains médicaments sont ainsi vendus fort cher, alors même qu'ils contiennent des substances nocives : colorants et additifs chimiques.

    Seuls les colorants naturels devraient être autorisés.