• L'éditocrate Jean-Michel Aphatie est revenu lundi sur la sympathie exprimée par certaines forces de l’ordre aux « gilets jaunes », s’inquiétant des conséquences que cela pourrait engendrer pour la stabilité de l’État.

    « La police ne peut pas être, pas une minute, du côté des manifestants  », a déclaré sur Europe 1 le journaliste vedette. « La police est là pour appliquer les consignes du gouvernement. Si les policiers ne veulent pas, il faut qu’ils fassent autre chose.  »


  • Le réalisateur, figure de Mai-68, s'est employé à critiquer les huit représentants des Gilets jaunes sur le plateau de "La Grande Explication" mercredi sur LCI. Il a directement interpellé Eric Drouet, l’un des porte-paroles du mouvement en remettant notamment en cause sa légitimité à représenter le peuple. 

     

     

    Eric DROUET, 50 ans (MONTESSON, CHATOU) - Copains d'avant

    Un peu moins contestataire qu'il y a 50 ans, l'ancien militant trotskiste, qui a appelé à voter Macron à la présidentielle, a durement jugé le mouvement pour son manque de structuration. Plus directement, il s'en est pris à Eric Drouet et à son rôle de "communicant", dont il a dénoncé l'illégitimité, faute de "consultation".

    Continuant à prendre à partie le chauffeur routier, il lui a reproché d'avoir comme "objectif de monter sur l’Elysée". Et de lui demander : "Mais où est la consultation ?" Et de continuer, offensif et en ajoutant le tutoiement : "D’où tu sors ? D’où tu parles ? Qui c’est qui t’a élu ?".

    Le cinéaste est également revenu, en haussant la voix, sur les actes racistes, islamophobes et homophobes qui ont eu lieu sur certains points de blocage de Gilets jaunes. Ce à quoi Eric Drouet a répondu que les violences n’étaient en rien symboliques du mouvement.

    L'émission dans son intégralité :

    Autour de David Pujadas, des acteurs de la contestation portent leurs revendications. Face à eux, Emmanuelle Wargon, secrétaire d’Etat à la Transition écologique et solidaire, apporte les réponses du gouvernement.