• Médias

    Guillaume Meurice, grille de rentrée, fusion de l’audiovisuel public… A France Inter, la peur de perdre sa raison d’hertz

    Retour sur une semaine de tensions exacerbées au sein de la station, avant une grève prévue ce dimanche 12 mai.

    par Adrien Franque

    publié le 10 mai 2024 à 20h52
     

    Tous les mois de mai, la même histoire, comme si la Maison ronde ouvrait grand les fenêtres et laissait les courants d’air mettre sens dessus dessous ses studios, ses bureaux, ses couloirs. Un préavis de grève a été posé par l’intersyndicale de Radio France pour la journée de ce dimanche 12 mai, avec pour motifs «la fin de la répression de l’insolence et de l’humour» et «la préservation de l’identité et de la singularité de ses chaînes». Depuis dix jours, France Inter vit une période de tensions exacerbées. La faute à la suspension de l’humoriste Guillaume Meurice en vue d’un éventuel licenciement (pour avoir répété dans une chronique sa blague du «nazi sans prépuce» visant Benyamin Nétanyahou). A cela, se sont ajoutées les craintes autour d’un «virage éditorial» de la station leader des audie

     
     

  • Champignons toxiques au collège du Teich : Champignons toxiques au collège du Teich : « Un tiers des personnes ont eu des symptômes légers en décembre »

    L’Agence régionale de santé a mandaté Santé Publique France pour mener une enquête épidémiologique au collège du Teich infecté par la présence de champignons toxiques au mois de décembre 2023. Elle laisse apparaître des symptômes légers chez 115 élèves et 31 professionnels

    L’agence régionale de santé (ARS) a été sollicitée pour évaluer la situation au collège Val des Pins du Teich, où la présence depuis cet automne de moisissures et de champignons toxiques a provoqué des désagréments chez nombre de personnes et même obligé l’établissement à fermer des salles de classe infectées par ces champignons.

    Ainsi, à la demande de la préfecture en 2021, l’ARS a mandaté une enquête épidémiologique auprès de Santé publique France compte tenu de la dégradation de la qualité de l’air intérieur des bâtiments du collège, de moisissures et du retard dans l’exécution des travaux.

    Pas d’infection invasive

    Elle a montré que « dans la majorité des cas les symptômes sont survenus entre novembre et décembre 2023, se manifestant principalement par des symptômes bénins de type irritations oculaires. Au moins 115 élèves et 31 professionnels ont présenté des symptômes au mois de décembre 2023, sur les 494 usagers du collège. La moitié des personnes asthmatiques ont rapporté une aggravation des symptômes. Aucun cas d’infection invasive à Aspergillus (infection grave) n’a été rapporté ».Par ailleurs, L’ARS a reçu les éléments de surveillance sanitaire effectuée par l’infirmière scolaire, ainsi que ceux du suivi environnemental réalisé par le CD (analyses de moisissures) : « Depuis le mois de janvier 2024, les résultats sont satisfaisants même si on note une dégradation du fait des fortes précipitations au mois d’avril. Du point de vue épidémiologique : pas de recrudescence des cas chez les élèves. En revanche, signalement par l’infirmière de cas d’irritations oculaires chez le personnel de la cantine, dans la salle de plonge. Concernant ce dernier point, l’ARS a demandé le plan de gestion au Conseil départemental qui a la compétence pour effectuer les travaux. »

     





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