• le nouveau patron de la "Banque of América France", était l’ami d’Emmanuel Macron,

     

    On apprend avec surprise que Bernard Mourad, le nouveau patron de la "Banque of América France", était l’ami d’Emmanuel Macron, au point qu’il l’appelait « mon lapin », ce qu’il continue à faire aujourd’hui. lien

    Mais de là à appeler « mon lapin », son ami devenu Président de la République, n’est-ce pas un outrage à la fonction présidentielle... abimant une image déjà très dégradée par les multiples gaffes présidentielles ? lien

    On sait que le président français est spécialiste en « posage de lapin », ce qu’il a fait récemment avec Barouin, ainsi qu’à tous les maires de Francelien

    Et puis les lapins, c’est aussi ceux que Macron sort de son chapeau... à coup de promesses en peau de lapin, comme celles qu’il a fait le matin du 27 novembre, lors d’un discours long et lénifiant, et même si Noël approche, quels sont les français qui croient encore au Père Noël ?

    D’après un sondage récent 3 français sur 4 n’ont pas adhéré au discours du président. lien

    Comme le résumait lucidement un membre des gilets jaunes, Macron parle à Macron, et donne dans l’autosatisfaction. vidéo

    Oublions ce lapin arrogant, et tournons-nous vers Sébastien Auzière, un inconnu qui ne devrait plus l'être, car c’est le fils de Brigitte Macron, né d’un 1er mariage, mais aussi le sénior vice-président de la société Kantar, société dont les capitaux sont en partie qataris, et qui acheté il y a quelques temps l’institut de sondage Sofres, appelé aujourd’hui Kantar-TNS-Sofres, filiale de WPP, leader mondial des études d’opinions. lien

    De là à s’interroger sur la sincérité des sondages, il n’y a qu’un pas que certains n’hésiteront pas à franchir, surtout en analysant certains sondages manifestement bidonnés.

    Ceci dit, il faut prendre l’information avec prudence, car certains dénoncent un fake, assurant que Kantar s’occupe surtout de santé, mais pourtant, on peut découvrir dans cet article, qu’alors que les instituts de sondage annonçaient en février dernier une baisse de la popularité présidentielle, Kantar assuraient que cette cote était stable.

    Passons...

    Le mardi 27 novembreMacron 1er nous a donné un discours tout en contradictions, sur la vague du « en même temps », dont il est coutumier, et a lancé un conseil de la transition énergétique... il faudrait lui rappeler qu’il a déjà été créé en 2013... puis en octobre 2015... avec un ministère de la transition écologique et solidaire doté de 15,7 milliards d’euros... pour le résultat que l’on sait, d’autant que tout en défendant la transition énergétique, il fait en même temps le contraire, donnant des échéances qui ne lui couteront pas cher, puisque son mandat se termine en 2022, alors qu’il pourrait agir tout de suite.

    Il prétend tourner le dos au nucléaire, mais d’ici 2035, voire plus tard, et en même tempsEDF s’est lancé dans des acquisitions de terrains autour des centrales nucléaires.

    Ainsi, à Bugey330 hectares ont été achetés, et ce n’est surement pas pour faire pousser des pommes de terre... à Dampierre en Burly, 125 hectares, à St Laurent des Eaux, 116 hectares, à Chinon, 120 hectares, mais aussi à Cattenom, Paluel, Golfech... d’autres devraient suivre.

    Autant de réacteurs EPR probablement prévus.

    En réalité Macron s’enferme donc dans son choix nucléaire, dont il prétend à tort qu’il ne produit pas de gaz à effet de serre.

    En effet, de l’extraction, au transport, tout en passant par la transformation de l’uranium, le nucléaire, énergie fossile, participe bien au changement climatique, sans assurer pour autant l’indépendance énergétique du pays, et de plus, produit des déchets dangereux dont nous ne savons nous débarrasser. lien

    On pourrait aussi logiquement s’interroger sur les décisions qui pourraient être prises dès aujourd’hui, sans attendre donc 2035, afin de rééquilibrer la pression financière sur les plus pauvres des français.

    Il serait possible de rétablir l’impôt sur la fortune (5 milliards d’euros annuels), possible aussi de ne plus permettre que l’état finance les enterrements des membres de la famille des députés (jusqu’à 18 255 euros), de ne plus payer la retraite des vieux présidents, soit près de 10 millions d’euros tous les ans (lien), de ne plus permettre qu’un ministre emprunte un avion pour faire un aller-retour Paris/Gap, pour un cout situé entre 80 000 et 150 000 euros.

    Edouard Philippe semble coutumier du fait, puisqu’en décembre 2017, il avait affrété pour 350 000 euros un avion pour rentrer de Nouvelle Calédonielien

    À comparer avec les déplacements des ministres suédois, lesquels utilisent leur propre voiture, sans chauffeur, n’ont pas de logement de fonction, à part le 1er ministre, déjeunent à la cantine, a part le ministère des affaires étrangères, qui a un cuisinier et des salons pour recevoir ses hôtes étrangers. lien

    Quelle différence avec les fastes élyséens, qui reçoivent chaque année une dotation de 103 millions d’euros pour en assurer le fonctionnement. Lien

    Quant au service national voulu par la présidence, il pourrait coûter 3 milliards d’euros tous les ans... lien

    Le magazine « Brut » a tenté de cerner les dérives financières de l’état : la seule tournée en Nouvelle Calédonie du 1er ministre a coûté 816 744 €... et les dépenses de son personnel s’élèvent à 19 millions d’€... auxquels il faut ajouter les dépenses de logement de ce personnel, soit 4,4 millions d’€... il faut ajouter 70 000 euros de frais de représentation... des frais de déplacement, (4,1 millions d’euros)...à l’Élysée, les budget de déplacement se montent à 8 millions d’euros... plus les dépenses d’intendance (2,3 millions d’euros) qui ne comprennent que les produits alimentaires, les prestations hôtelières, et les vêtements. lien

    Ajoutons pour la bonne bouche le gaspillage des 450 millions jetés à la poubelle provoqué par l’abandon du logiciel RH de l’éducation nationale. lien

    Une addition vite fait de toutes ces dépenses, dont la liste est fatalement incomplète, dépasse les 9 milliards d’€.

    C’est peut-être pour éponger ces dépenses calamiteuses que le gouvernement, via le Sénatenvisage une nouvelle taxe à la hauteur d’1,5 milliard d’€ destinée aux assurances complémentaires santé. lien

    Cerise sur le gâteau, ils lancent aussi l’idée d’une taxe sur les mobiles et les fixes, (lien) alors que des économies substantielles pourraient être facilement réalisées, plutôt que de saigner à blanc les citoyens, alors que le projet de loi de finances 2019, présenté le 26 novembre, contient peu de réformes susceptibles de dégager des économies. lien

    Face à ces dépenses pharaoniques, on a de la peine à croire le ministre de l’économie qui assure que « l’état a peu d’argent ». lien

    Il est donc probable que les gilets jaunes resteront mobilisés.

    De plus, ils s’interrogent : lors de la manif sur les Champs-Elysées, de nombreux témoignages confirment que le ministre de l’intérieur n’avait pas tenté d’arrêter les casseurs qui s’étaient invités au sein des gilets jaunes, ce qui a indigné le SGP Police, déplorant « une absence d’ordre d’arrêter les Black Blocs ». lien

    L’occasion de rappeler ce que disait un certain Pasqua  : « infiltrer des casseurs au milieu des manifestant afin de les discréditer reste la meilleure arme du pouvoir  ». 

    Castaner, qui veut durcir le ton, semble aujourd’hui menacé par la disgrâce, d’autant que son passé ressurgit, et s’il faut en croire « le JDD  », il aurait côtoyé le grand banditisme, ce qui fait dire à de nombreux gilets jaunes : « n’oubliez pas que celui qui veut nous donner des ordres est un ancien voyou  ». lien

    Ce qui n’a pas échappé à une adjointe de Collomb, en mairie de Lyon, qui l’a qualifié de « 1erripou de France ». Lien

    Selon un post publié sur les réseaux sociaux, à 18 ansCastaner s’était lié à Marseille avec Christian Oraison, l’un des patrons du grand banditisme, dont il disait, « c’était mon grand frère, mon protecteur, il m’appelait l’étudiant », et gagnait sa vie au poker, avec la traditionnelle chaîne en or autour du cou.

    De plus, la grogne s’élargit, et touche maintenant le monde agricole, (lien) celui des routiers, (lien) voire celui des lycéens... lien

    Certains en arrivent à conclure : « faut changer de voiture, faut changer de chaudière... et si on changeait plutôt de président ?  ».

    C’est l’occasion de réécouter le coup de gueule de Philippe Poutou, lors du débat présidentiel, qui prend là toute sa saveur. lien

    Plusieurs pétitions demandant la destitution d’Emmanuel Macron ont été lancées. Lien lien

    Comme dit mon vieil ami africain : « on ne peut sauter en avant et en arrière en même temps »

    Merci aux internautes pour leur aide précieuse

    Olivier Cabanel

    L’image illustrant l’article vient de conseildansesperanceduroi

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