Gabriel Attal présente l’internat comme la solution pour les jeunes « sur la mauvaise pente ». Certes, ce dernier éloigne l’enfant des mauvaises fréquentations et impose un rythme de travail. Mais il nécessite beaucoup d’argent. Et sur ce point essentiel, le Premier ministre reste flou…
Gabriel Attal présente l’internat comme la solution pour les jeunes « sur la mauvaise pente ». Lundi 22 avril, il visitait un « internat éducatif de rupture » à Nice, qui accueille des collégiens pendant les vacances. Au menu : ateliers sur l’estime de soi, discussion sur les addictions, cours d’éducation morale et civique…