• Enquêtes sur les reliques du Christ

     

     

     

     

    Enquêtes sur les reliques du Christ

     

     

     

    Enquêtes sur les reliques du Christ

     

     

     

    Enquêtes sur les reliques du Christ

     

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    Un certain nombre de reliques associées à Jésus ont fait l'objet de vénération tout au long de l'histoire du christianisme. Si certains croient en leur authenticité, d'autres en doutent profondément. Par exemple, au xvie siècle, le théologien catholique Érasme écrit ironiquement à propos de la prolifération des reliques, notamment en évoquant le nombre de bâtiments qui auraient pu être construits à partir du bois de la croix utilisée dans la crucifixion du Christ. De même, alors que des experts argumentent pour savoir si le Christ a été crucifié avec trois ou quatre clous, plus de 30 « saints clous » continuent à être vénérés comme des reliques à travers l'Europe. Le Christ n'ayant pas laissé de reliques corporelles suite à son Ascension, les Catholiques et Orthodoxes ont vénéré principalement des reliques de contact1.

    Quelques reliques, comme les restes supposés de la Couronne d'épines, ne reçoivent qu'un faible nombre de pèlerins, tandis que d'autres, tels le Suaire de Turin (associé à une dévotion catholique approuvée à la Sainte Face de Jésus), reçoivent des millions de pèlerins, y compris les papes Jean-Paul II et Benoît XVI.

    Linceuls et faces

    On connaît un certain nombre d'images acheiropoïètes (du grec αχειροποίητα, littéralement « non fait de main d'homme »), supposées être le visage de Jésus, des impressions de son visage ou de son corps sur un morceau de tissu. Dans la plupart des cas, ces images font l'objet d'intenses débats et de spéculations. Certaines images existent sous forme physique, d'autres sont seulement connues par des documents écrits.

     

    Le Saint Suaire de Turin est la relique la plus connue de Jésus et l'un des objets les plus étudiés de l'histoire humaine.

    Différents tests ont été effectués sur le linceul, mais les croyants et les sceptiques continuent de présenter des arguments pour et contre la validité des tests. L'une des questions litigieuses est la datation par le carbone 14 en 1988, qui a donné des résultats indiquant que la pièce de tissu date du Moyen Âge. Les croyants ont depuis présenté des arguments contre les résultats de 1988 en particulier concernant la cohabitation de deux types de fibres, les fibres en lin datant du ier siècle et les fibres en coton datant du xive siècle et qui correspondraient a un travail de raccommodage à la suite d'un incendie. Ce raccommodage ne portant que sur moins de 5 % de la surface du linceul, zone d'où fut prélevé l'échantillon de 1988. Le débat reste ouvert. Les sceptiques et les croyants ont tendance à avoir des positions tranchées qui rendent le dialogue très difficile et entravent une solution satisfaisante pour les deux clans. Il se trouve qu'un grand nombre d'ouvrages ont été publiés sur le sujet avec des datations/localisations multi-facteurs, telles que C14, pollen, numismatique (pièces romaines), rayons X, rayons UV, analyse en 3 dimensions des seuils de décoloration des fibres, techniques de tissage, etc.

    Selon la légende, le voile de Véronique a été utilisé pour essuyer la sueur du front de Jésus quand il portait la croix. Aujourd'hui, plusieurs images prétendent être le voile de Véronique.

    La première est conservée dans la basilique Saint-Pierre de Rome. Elle était très vénérée au Moyen Âge. Elle a fait l'objet de peu d'études dans les temps modernes et il n'y a pas de photos détaillées. En 1907, l'historien d'art jésuite Joseph Wilpert a été autorisé à inspecter l'image[citation nécessaire].

    Le palais de la Hofburg à Vienne possède un exemplaire du voile de Véronique, authentifié par la signature du secrétaire du pape Paul V, sous le règne duquel une série de six copies a été faite en 1617.

    L'image du monastère de la Sainte-Face à Alicante, en Espagne, a été acquise par le pape Nicolas V auprès de parents de l'empereur byzantin en 1453, donnée par un cardinal du Vatican à un prêtre espagnol qui l'a emportée à Alicante en 1489.

    La cathédrale de Jaén en Espagne en a aussi une copie, qui date probablement du xive siècle et provient de Sienne. Elle est connue sous le nom de Santo Rostro et a été acquise par l'évêque Nicolas Biedma.

    En 1999, le père Heinnrich Pfeiffer a annoncé lors d'une conférence de presse à Rome qu'il avait trouvé le voile dans une église du couvent des Capucins, dans le petit village de Manoppello, Italie, où il se trouvait depuis 1660. Les défenseurs de l'authenticité du Saint Suaire prétendent que le visage de l'image de Manoppello correspond exactement à la face présentée sur le suaire de Turin et aux taches de sang sur le suaire d'Oviedo, ce que bien des sceptiques contestent.


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    L’inflation est de retour ! On peut s’en désoler ou s’en réjouir. S’en désoler si l’on est salarié au Smic, si l’on est retraité, si l’on a un petit pécule à la caisse d’épargne. On peut s’en réjouir si l’on est patron, si l’on a fait un emprunt pour acheter son logement, si l’on est l’État.

     

    S’en désoler et avoir la rabia si l’on est prolo parce que les salaires ne sont plus indexés sur les prix. Oui mais – se gargarise le patronat qui tire les ficelles de ces marionnettes qui nous gouvernent – la suppression des charges salariales sur les heures supplémentaires va apporter un surplus de 200 euros par an aux salariés payés au Smic ! Ouais… Mais ce qu’ils oublient de dire c’est qu’« en même temps », pour faire une « macronade », avec une inflation de 2,3 %, le smicard qui gagne 12 fois 1 500 euros soit 18 000 euros par an va perdre 414 euros !!!

    S’en désoler et avoir la rabia si l’on est retraité parce que Philippe, le ci-devant Premier ministre, a expliqué sans vergogne que les pensions ne seraient revalorisées que de 0,3 %. Avec une inflation à 2,3 % la perte annuelle est de 2 %. Même calcul : la retraite moyenne tourne autour de 1 300 euros par mois soit 15 600 euros par an, perte de 312 euros ! Rajouter à ceci les 1,7 % d’augmentation de la CSG, ça fait une perte de pouvoir d’achat de 3,7 %. Merci, ci-devant « Rothchild-boy » Macron.

    S’en désoler et avoir la rabia si l’on a mis ses quelques éconocroques laborieusement mises de côté pour ses vieux jours sur un Livret A. Le dépôt moyen est de 4 000 euros. Avec un taux d’intérêt à 0,75 % - le taux le plus bas concédé depuis qu’existe la caisse d’épargne – l’intérêt négatif est de 0,75 – 2,3 = -1,55 %. Donc pour 4 000 euros le modeste épargnant « sans dent », qui « coûte un fric dingue » perd chaque année 62 euros !

    Et en plus, le prix de la vaseline augmente… Ca va faire mal !

    Chercher et vous trouverez d’autres exemples des effets négatifs de cette inflation.

    Maintenant il y a aussi des effets positifs.

    On peut s’en réjouir si l’on a fait un emprunt pour acheter son logement, son pavillon, sa maison de campagne. Avec une inflation à 2,3 % et des taux à 15 ans à 0,96 %, le remboursement de votre prêt vous coûte chaque année moins cher de 1,34 % !

    On peut s’en réjouir si l’on est un patron parce que les salaires n’étant plus indexés sur les prix, lorsque ceux-ci augmentent, les recettes augmentent d’autant tandis que les salaires stagnent. Tout bénef. Merci, ci-devant « Rothchild-boy » Macron !

    On peut s’en réjouir si l’on est Monsieur l’État qui voit ainsi chaque année le montant de sa dette diminuer selon les mêmes calculs.

    Allez, une petite dernière pour la route. La suppression des charges salariales sur les heures supplémentaires va coûter un bras (de plus) à la Sécu puisque c’est elle qui en supportera le choc. Pareil pour l’abandon – demandé par la ministre de l’emploi Pénicaut – de l’imputation à l’entreprise du premier jour d’absence pour maladie. C’est encore le budget de la Sécu qui va en pâtir.

    Il est vrai que dans les arrières boutiques patronalo-macroniennes, tout ce qui peut enfoncer la Sécu est bon. Les vautours de l'assurance privée guettent.