• mardi 19 mars 2024 à 20h

    Projection-Débat - "Le numérique et ses impacts environnementaux et sociétaux : de l'extraction à nos usages quotidiens"

    Evénement, créé avec l'association Lève les yeux, aura lieu le mardi 19 mars de 20h à 23h au cinéma La Lanterne (barrière de Bègles).

    Au programme :
    - table ronde avec plusieurs intervenants
    - projection d'un film documentaire
    - échanges avec l'équipe du film

    Vous pouvez pré-réserver vos places sur le site de La Lanterne (attention, une erreur s'est glissée sur le site, la soirée commence bien dès 20h).



    Synopsis
    « Et si on levait les yeux ? » est une expérience unique menée par un instituteur réalisateur et sa classe de CM2. Pendant 1 an, Gilles Vernet va échanger avec ses élèves, leurs parents et des spécialistes sur la place des écrans dans notre société, avant de les emmener pour 10 jours de déconnexion en pleine nature. Ce documentaire de 52 minutes plonge le spectateur dans une réalité immersive où il est question du sens. Il traite des dangers de la surexposition des enfants aux écrans. Il n'élude pas la responsabilité des uns et des autres, comme les parents. C'est aussi un film où l'on tutoie le bonheur, l'envie de vivre ensemble et où l'on respire. C'est un enjeu de santé publique et démocratique qui est abordé d'une manière originale, poignante et vraie.

    Source : https://cinemalalanterne.fr/et-si-on-levait-l…
    Source : message reçu le 28 février 18h


  • cette France qui broie du noir depuis le Covid

    Enfants suicidaires à 10 ans, seniors isolés, mères épuisées... cette France qui broie du noir depuis le Covid

    Si les jeunes adultes présentent les niveaux les plus inquiétants de troubles psychologiques depuis la pandémie, d’autres groupes ont particulièrement souffert de la crise. Et peinent encore à retrouver le moral d’avant le Covid, faute d’accompagnement.

    Des enfants suicidaires parfois dès l’âge de 10 ans

    Maxime avait 8 ans en 2020. Ses parents ont dû lui faire prescrire des anxiolytiques, en 2022, tant il se noyait dans des « idées noires » expliquent-ils aujourd’hui. Il est, notamment, devenu obsédé par les maladies. L’absence d’école, l’isolement et le confinement dans un petit appartement, près de Lyon, ont été mal vécus par le garçon. « Difficile de savoir ce qui a fragilisé notre fils. Entre le début de l’adolescence et la mort de plusieurs proches, il n’a pas été gâté. Mais le confinement l’a plombé : nous travaillions et il était beaucoup livré à lui-même », raconte sa mère.