• Épilepsie : le combat d’une famille face à ce "handicap invisible"

    Épilepsie : le combat d’une famille face à ce "handicap invisible"

    Publié le 26/03/2017 à 14h53 par Isabelle Castéra.sud-ouest
     
    Épilepsie : le combat d’une famille face à ce "handicap invisible"
     
    Gilles Guibert, bénévole bordelais de l’association Épilepsie-France.
    PHOTO PHILIPPE TARIS/"SO"

    600 000 personnes souffrent d’épilepsie en France, soit 1 % de la population. Le fils de Gilles est malade. Comment le conduire vers l’autonomie ?

    Il parle de son fils de 20 ans, la gorge un peu nouée. "La première fois, il avait 13 ans, il a perdu conscience en classe. On a pensé à un simple malaise vagal et mis ça sur le compte de la croissance. Un an après, il a fait une convulsion, en plein cours de sports. Il était en 3e. Un électroencéphalogramme a suffi pour diagnostiquer l’épilepsie."

    Gilles Guibert et son épouse se retrouvent face à une maladie dont ils ignorent tout. L’adolescent est pris en charge et entame un traitement de Dépakine, le fameux Valproate de sodium aujourd’hui au cœur d’un scandale sanitaire, puisqu’on sait qu’il est l’origine de malformations fœtales lorsqu’il est administré à des femmes enceintes.

    "Ses apprentissages étaient ralentis et il souffrait de son changement physique"
     
     
     
     
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