• Publié le 24/03/2017 à 12h20. Mis à jour à 16h25 par Nicolas César. sud-ouest

     

    Couverture en téléphonie mobile : voici la première carte détaillée à 200 mètres

    Cette carte permet de connaître le niveau de couverture mobile selon 4 niveaux. La région Nouvelle-Aquitaine est pilote du dispositif

    AFP

    Le 22 mars, l’Arcep (Autorité de régulations des télécommunications) a lancé un site Internet, Monreseaumobile.fr, où il est désormais possible de connaître avec précision la couverture d’une commune, selon les différents opérateurs. La Nouvelle-Aquitaine a été choisie comme région pilote du dispositif

    Vous voulez savoir où sont les zones blanches de la téléphonie mobile dans la région, sur votre commune, ou encore sur votre prochain trajet professionnel, voire en train ? Depuis le 22 mars, c’est enfin possible, l’Arcep vient de créer un site dédié à cet effet, qui publie toutes ces données en open data.

    Site ergonomique et données avec une précision à 200 mètres près

    Ergonomique, l’outil permet à l’utilisateur de zoomer sur la zone de son choix, puis de choisir l’un des 4 opérateurs. Le site affiche alors quatre niveaux de couverture à l’aide de couleurs : le rouge pour une très bonne couverture, le rose foncé pour une bonne couverture, le rose clair pour une couverture limitée et le blanc pour une absence de couverture. En outre, des cartes différencient la 2G (voix et SMS), la 3G et la 4G.

     

     

     


  • Enquête sur la cybercriminalité Le cellulaire, une cible potentielle

     

     

    C’est malheureux de constater que nombres de crimes sont commis via les ordinateurs et les cellulaires
    Nuage

     

     

    Enquête sur la cybercriminalité

    Le cellulaire, une cible potentielle

    Gare à vos téléphones cellulaires, car ce sont de potentielles cibles pour les cybercriminels. C’est le constat qui ressort d’un récent rapport sur la cybercriminalité de l’entreprise Symantec, spécialisée dans les logiciels de protection.


    Les résultats de l’enquête indiquent que 5% des Canadiens ont déjà été victimes de cybercriminalité par le biais de leur téléphone cellulaire, soit deux fois moins que la moyenne mondiale de 10%.


    «Cela ne signifie pas pour autant que les Canadiens sont en sécurité»,
    a souligné Lynn Hargrove, directrice solutions aux consommateurs chez Symantec Canada.

     


    «Le marché de la téléphonie mobile est la prochaine cible des criminels,
    a-t-elle soutenu. Les logiciels malveillants destinés aux cellulaires se multiplient.»

     

    Selon Mme Hargrove, les gens n’ont pas conscience que leur téléphone peut être trafiqué par des cybercriminels, au même titre que leur ordinateur. La plupart des gens n’ont pas de mots de passe ou de fonctions de sécurité sur leur téléphone, a souligné l’experte.

     


    Au Canada, le nombre de personnes ayant été victimes de cybercriminalité par le biais de leur ordinateur a augmenté de 5% au cours de la dernière année, passant de 64 à 69%.


    Les virus informatiques et les logiciels malveillants arrivent en tête de liste des cybercrimes recensés, alors que près de 60% des répondants ont dit avoir déjà rencontré pareils problèmes. Les escroqueries en ligne arrivent en deuxième position, suivies de près par le vol de renseignements personnels.


    L’enquête de Symantec indique que les pertes financières directes découlant de ces escroqueries en ligne sont évaluées à 840 millions $, auxquels il faut ajouter un montant additionnel de 4,7 milliards $ pour le temps consacré à la résolution de ces crimes.


    Près de 20 000 internautes provenant d’une vingtaine de pays ont été interrogés dans le cadre de cette enquête, qui s’est déroulée du 6 février au 14 mars dernier. Les résultats montrent que plus d’une personne sur trois (35%) ne possède pas de logiciel de protection.

     

     

     





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