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VACCINS, OUI ou NON ?
Les vaccins sont-ils fiables ? Leur efficacité est-elle garantie ? Provoquent-ils des maladies comme l'autisme, la sclérose en plaque, Alzheimer, Parkinson, les allergies... dont le nombre explose ? Est-il réellement un rempart contre le cancer du col de l'Utérus ou est-il si efficace contre la grippe ?
1/ Qu'y a-t-il dans les vaccins ?
Toutes ces questions, et bien d'autres sont abordées par les chercheurs Stefano Montarini, Antonietta Gatti et le docteur Serge Rader, dans un ouvrage de plus de deux cents pages, intitulé : « VACCINS OUI ou NON ? « paru en septembre 2017, aux Editions TALMA Studios.
S. Montarini et A. Gatti deux scientifiques internationalement reconnus, ont ouvert une branche nouvelle de la recherche médicale : la nanopathologie, une discipline qui traite les maladies induites par les micro et les nanoparticules solides, inorganiques et toxiques. Leur analyse se fonde sur le contenu de dizaines de vaccins.
Serge RADER est Pharmacien diplômé d’État, ancien titulaire d'officines pendant plus de 20 ans et ex-président fondateur de la Coopérative de Pharmaciens IdF. Serge RADER est aussi lanceur d'alerte « face aux dérives de l'industrie pharmaceutique ».
Ce groupe de professionnels de très haut niveau verse au débat les résultats de leur recherche au sein de leur laboratoire de nanodiagnostics. Ils utilisent une technologie révolutionnaire, spécifique de microscopie électronique mis au point par A. Gatti, validée par deux projets européens -Nanotechnology et DIPNA.
C'est aussi par ces recherches qu'ils prouvent la présence de micro et nanoparticules solides et inorganiques, en analysant la composition, élément par élément.
Question : Quelle justification à la présence de ces nanoparticules dans les vaccins ? Quelles conséquences pour le corps humain ?
Les autorités politiques et sanitaires, face à la suspicion générale en augmentation, face à la recrudescence des affaires judiciaires liées aux « dégâts collatéraux », déclare restaurer la confiance du public. Mais dans le même temps, annoncent dès janvier 2018, 8 vaccins obligatoires à injecter, en sus des trois précédents obligatoires, aux enfants en très bas-âge, dès les premières années de la vie.
Le travail de ces trois spécialistes est de mettre en lumière les éléments « cachés » de la composition des vaccins. Éléments qui ne figurent pas dans les compositions des vaccins sur les boîtes.
2/ Les Nanopathologies. C'est une discipline récente du domaine médical avec l'étude de nombreux phénomènes qui, jusqu'à ces dernières années semblaient difficiles à expliquer ou de manière erronée. Il s'agit de mettre en lumière la nature éminemment « polluée » de certains vaccins mis sur le marché.
« Si les particules emprisonnées dans les tissus ne sont pas bio-dégradables comme il arrive souvent, elles ne seront pas éliminées, avec toutes les conséquences en terme de chronicité du stimulus qu'induit un corps étranger « éternel ».
3/ Les analyses des vaccins.
Il y a une douzaine d'années, les auteurs de cet ouvrage, contactés par l'Université allemande de Mayence afin de précéder au contrôle d'une tuméfaction formée chez certains sujets vaccinés au point d'injection – le bras – ils furent très surpris de trouver dans ces tissus des particules solides et inorganiques. Quelle ne fut pas leur surprise de découvrir également les mêmes particules, à base d'aluminium dans l'échantillon de vaccin. Il s'agissait d'un vaccin anti-allergique, produit par une société allemande. Ce vaccin était pollué d'une manière grossière et cela étonna les chercheurs. De plus, les caractéristiques des particules indiquaient l'attaque de « macrophages » et la formation d'une « granulomie » de corps étranger. Une réaction biologique amplement décrite dans n'importe quel texte de pathologie. Ce fut suffisamment incitatif pour les scientifiques pour se pencher sur la composition des vaccins. C'est ainsi que divers échantillons de vaccins furent analysés, où ils trouvèrent des particules polluantes de plus ou moins grande tailles. La première question qui les interpella fut : d'où viennent ces substances ?
« Quels effets sur l'organisme pouvaient avoir ces particules ? Elles pouvaient attaquer l'organisme de nombreuses façons différentes... »
D'un autre côté, ils commençaient à « recevoir des messages, appels téléphoniques et visites de parents qui rapportaient tous, avec des différences vraiment minimes quand elles existaient, le même vécu : il (le vaccin) était administré à leur enfant, généralement un nouveau-né ou au maximum âgé de 2 ou 3 ans et, de vif et réactif qu'il était, en l'espace de quelques heures, il se transformait en un être incapable de répondre à un grand nombre de stimuli. Et par la suite, diverses personnes leur rapportèrent un diagnostic d'autisme pour leurs enfants ».
4/ 30 vaccins analysés – 29 à usage humain, 1 à usage vétérinaire. Analyse par image et spectres EDS – Energy Dispersion Analysis - Cela consiste à tirer un très fin rayon d'électrons contre le point visible de l'image de microscope électronique dont on veut connaître la composition. Ces électrons déplacent de sa position un électron de l'atome touché et la place de cet électron va être prise par un autre électron appartenant au même atome. Ce processus produit de l'énergie enregistrée par l'appareil sous forme de pics. Chaque élément chimique émet de l'énergie dans un mode qui lui est propre, produisant des pics caractéristiques). L'énergie caractéristique d'un élément produit en général plusieurs pics, ce qui le rend inimitable. Ce travail s'effectue sous hotte à flux laminaire et sur 35 microlitres de vaccin, en les prélevant directement de l'ampoule et en les déposant sur un filtre de cellulose. Le filtre ensuite est déposé sur un disque bi-adhésif de carbone posé sur un support d'aluminium ( stub en terme technique).
« Dans tous les vaccins, nous avons observé de façon plus ou moins importante des corps étrangers qui n'appartiennent pas et ne devraient pas appartenir à la composition vaccinale » Le seul vaccin qui ne contenait aucun de ces corps étrangers, était un vaccin pour les chats.
5/ A quoi ressemblent ces corps étrangers ?
Ces « particulaires » sont de simples particules ou un agrégat aux dimensions variant d'une centaine de nanomètres jusqu'à près de dix microns. Ils présentent de vastes zones de cristaux d’aluminium : hydroxyde d'aluminium ajouté en tant qu'adjuvant.
6/ Les vaccins analysés et leur composants : NDLR - (le nom des marques de ces vaccins et leurs sociétés productrices sont mentionnés dans l'ouvrage).
-Vaccins1 contre la souche C de la méningite à méningocoque, vaccins anti-grippe analysé trois fois en sept ans. Lots différents, vaccin anti typhique (typhus), vaccin contre la Neisseria meningitidis de sérogroupe C - Vaccin diphtérie – Tétanos – Coqueluche – Vaccin de prévention contre l’hépatite B – Polyiomélythe – et l'Haemophilus influenzae de type b -Vaccin contre le HTV – Papillomavirus - Vaccin trivalent – Rougeole – Oreillons – Rubéole - Hépatite B – Varicelle.
La quasi-totalité de ces vaccins analysés contiennent à des degrés divers des particules, certains contenant un « haut pourcentage de titane et d'aluminium associés à des petites quantités de chlore, sodium, silicium et soufre ».
Liste des éléments chimiques rencontrés.
Aluminium (Al) - Baryum (Ba) - (Bi) Bismuth - (C) Carbone - (Ca) Calcium - (Cl) Chlore - (Cr) Chrome- (Fe) Fer - (K) Potassium - (Mg) Magnésium – (Na) Sodium – (Ni) Nickel – (O) Oxygène (P) Phosphore - ( Pb) Plomb - ( S) Soufre – (Si) Silicium – (Sn) Étain – (Ti) Titane – (W) Tungstène – (Zn) Zinc - (Zr) Zirconium.
NB : 1/ A rajouter à ce tableau, arsenic, cadmium,mercure et plomb à la toxicité maximale. Toutes ces particules sont toxiques. .2/ La triplette de fer, chrome et nickel est caractéristique des aciers. 3/ Dihydrate de phosphate de sodium, dihydrate de phosphate disodique, chlorure de sodium, phénol, zinc,2silicium, chlore,calcium et titane, tungstène soufre, titane - (La dimension nanométrique des particules de l’agglomérat les rend particulièrement pénétrantes).4/ Le zinc est particulièrement nocif pour le cerveau, les yeux et les organes sexuels.
Des antibiotiques sont retrouvés dans les vaccins. Comme la gentamycine et la polymyxine B, la streptomycine, médicament à utiliser chez les enfants uniquement que si l'on ne peut pas faire autrement.
Des traces de Glisophates dans des vaccins aux États-Unis !
Le glysophate est un ingrédient actif de l'herbicide phare Round Up de Monsanto, mais également des centaines d'autres herbicides ont été retrouvés dans les vaccins. C'est ce que révèle Wikistrike le 22 octobre 2016, dans un article du site nord-américain Eco-Watch.
7/ D'autres aspects de la vaccination obligatoire sont abordés : pourquoi à deux mois plutôt qu'à deux ans ? Pourquoi autant en même temps plutôt qu'un seul à la fois ? Est abordé également le volet des institutions sanitaires et des conflits d'intérêts majeurs, de la multiplication des scandales sanitaires. En face des institutions apparemment incapables .d'assurer le contrôle nécessaire pour la santé publique, les familles des victimes des dégâts collatéraux causés par les vaccins, se mobilisent et communiquent dans les médias. C'est ainsi que des expertises sont en cours, mais il est demandé aux familles de modérer leur discours alors que des expertises sont engagées ; Le verdict tombe en 2016, certains vaccins notamment contre la méningite renferment bien des métaux lourds. Et de conclure : les doses infinitésimales ne représentent aucun risque pour les enfants. Aucune allusion des nanoparticules dans les vaccins, nanoparticules retrouvées dans les analyses du laboratoire de Modène qui n'ont rien à faire dans les vaccins ! En effet, que font ces nanoparticules dans les vaccins ? Selon certains institutionnels, il est dit que les moyens technologiques actuels ne permettent pas de détecter et de quantifier ces nanoparticules. C'est faux !
Ce n'est pourtant pas ce que prouvent les travaux d'envergure et de précision, des chercheurs italiens et le laboratoire de Nanodiagnostics qui se penchent sur le problème depuis 15 ans maintenant. Mais l'ampleur du phénomène ne semble pas troubler les institutionnels. L'on annonce la vaccination obligatoire de 8 vaccins supplémentaires pour nos bébé en très bas-âge, au tout début de leur existence, à l'âge où ils n'ont pas encore développé leur défenses immunitaires. Or, comme le souligne les auteurs, le vaccin de par sa composition agit directement sur les défenses immunitaires du corps humain, nécessaires pour en faire un instrument de prévention et non un outil de maladie, voire de mort. Je conclurai par ceci : comment peut-on soutenir qu'un vaccin supposé empêcher une maladie de se manifester dans l'organise alors qu'il contient des substances lourdes et toxiques est inoffensif ? Comment peut-on les rendre obligatoires sachant ce qu'ils contiennent ? Comment vouloir prévenir la maladie en injectant des substances hautement toxiques ? Comment et pourquoi un tel déni de la part des institutionnels en charge de la santé ?
1Le nom des vaccins analysés se trouve dans l'ouvrage.
2Zinc – particulièrement nocif pour le cerveau, yeux et organes sexuels.
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