« L’État se sert de nous pour renouveler le patrimoine automobile du pays. » Et c’est le maire écologiste de Bordeaux, Pierre Hurmic, qui le dit. Pas assez écolo pour les écolos, trop pour les autres, socialement explosive et encore floue sur le fond : c’est peu dire que Bordeaux Métropole se lance dans sa zone à faibles émissions (ZFE) sans aucun enthousiasme et avec le sentiment d’avoir été lâché par l’État en rase campagne, laissant le soin aux élus locaux d’assumer la mise en œuvre de cette exclusion des véhicules les plus polluants des grandes agglomérations.
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Zones à faibles émissions : « Incohérence », « aberration »… Bordeaux y va sans enthousiasme
Zones à faibles émissions : « Incohérence », « aberration »… Bordeaux y va sans enthousiasme
30 % du parc auto de Bordeaux Métropole est en Crit’Air 3, 4 ou 5 et donc potentiellement exclu de la ZFE d’ici à 2030.
La Métropole bordelaise se conformera à la loi au 1er janvier 2025, mais avance prudemment : des élus au monde économique, personne n’est d’accord« "XCheck", ce programme de modération secret que Facebook réserve aux VIP « Il faut fermer les formations qui ne permettent pas d’insérer les jeunes » »