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    Food and Drug Administration (FDA), l'agence fédérale américaine chargée de protéger la santé publique préconise de réduire le niveau de nicotine dans les cigarettes afin d'atténuer le risque d'addiction.

    Coup de tabac à Wall Street. Altria (Marlboro), British American Tobacco (Camel, Lucky Strike) et Vector Group ont dégringolé vendredi en Bourse après l'annonce de la Food and Drug Administration (FDA). L'agence fédérale américaine, chargée de protéger la santé publique en contrôlant la sécurité alimentaire, le tabac et les médicaments, préconise de réduire le niveau de nicotine dans les cigarettes, et ce afin d'atténuer le risque d'addiction inhérent à ce produit.

    La FDA va modifier sa stratégie de lutte contre le tabagisme avec un «plan complet de régulation » prévoyant notamment de reconsidérer le rôle des arômes, qui attirent les jeunes, et surtout d'encourager le développement de «nouveaux produits du tabac » moins dangereux que les cigarettes. «Le nombre écrasant de morts et de maladies liés au tabac est causé par l'addiction aux cigarettes, le seul produit de consommation légal qui tue la moitié des utilisateurs à long terme », a déclaré Scott Gottlieb, le commissaire de la FDA.

    Tour de vis

    Avant de procéder à un tour de vis dans la régulation des produits du tabac, la FDA a annoncé qu'elle entamait un dialogue public sur la baisse du niveau de nicotine et qu'elle publierait rapidement des directives sur la mise en œuvre de ce plan. Une façon de considérer que le caractère addictif de la nicotine est, en soi, néfaste.

    Les industriels du tabac ont tous salué ce «pas important » dans le développement d'une nouvelle politique de régulation du tabac luttant contre ses méfaits. Mais les lobbyistes des cigarettiers sont sur le pied de guerre pour défendre leur industrie. Plusieurs voix s'élèvent déjà sur le risque d'encourager indirectement le marché noir. D'autres se félicitent que les cigarettes électroniques se situent hors du champ du plan. Celles-ci seront examinées en 2022. En 2021, ce sera le tour des cigares, du tabac à pipe et à narguilé.


  • Madame Buzyn, ministre de la santé, réagissait à l'interpellation de Madame la députée Frédérique Tuffnel sur le projet de loi de 11 vaccins obligatoires. Elle déclarait, lors des questions au gouvernement, le 25 juillet 2017, que des millions de doses de vaccins avaient été injectés depuis 90 ans sans conséquences néfastes.

    Elle se référait, par ailleurs, aux recommandations et statistiques de l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé).

    1 : Arguments sur l'innocuité des adjuvants.

    Le sourire disqualifiant arboré par Madame Buzyn était plus éloquent que n'importe quel discours. Le doute qui doit présider à toute démarche scientifique semble se dissiper dans une sorte de crispation, de posture psycho rigide. Les réseaux sociaux incriminés ne reflètent que les inquiétudes de médecins et de parents qui n'ont rien à vendre, qui ne cherchent pas la notoriété, ni de prix nobel. Je précise, pour ce qui me concerne, que je suis pour l'instant pro vaccins et que je ne suis pas adepte de sites complotistes ou apocalyptiques qui nous prédisent la fin du monde tous les quatre matins. Simplement, je pense qu'il est raisonnable de tenir compte des travaux des médecins, professeurs et chercheurs émérites qui tirent la sonnette d'alarme partout dans le monde sur les adjuvants et en particulier l'aluminium et le mercure.

    Le docteur Nathalie Garçon, spécialiste des adjuvants pour le laboratoire pharmaceutique GSK (Glaxosmithkline), écrivait le 2 décembre 2002 à Arlington Virginia, dans un document T2684 Society of toxicology, page 220 : "en réalité, le seul adjuvant (aluminium) autorisé, pour un usage humain, est le plus empirique. Personne ne sait comment il fonctionne, personne ne connaît sa bio distribution (...) En fait, je crois que si l'aluminium arrivait maintenant, il ne serait pas accepté". (Merci au docteur qui m'a donné cette information)

    Le docteur Marcia Angell a travaillé pendant plus de deux décennies comme rédactrice en chef du New England Journal of Medicine. Elle a été licenciée après avoir critiqué l’industrie pharmaceutique, qui exerce une influence considérable et négative sur la littérature scientifique. Elle a dit : " Il n’est tout simplement plus possible de croire la plupart des recherches cliniques qui sont publiées". Parmi les 25 faits sur l’industrie pharmaceutique, les vaccins et les « antivaccins », cinq ont retenu mon attention :

    En 2012, GlaxoSmithKline (GSK) a plaidé coupable et payé « 3 milliards de dollars pour régler des allégations de fraude et d’omission de données de sécurité ».

    - Une étude a conclu que les pays exigeant que la population reçoive davantage de doses de vaccin ont tendance à avoir des taux de mortalité infantile plus élevés.

    Il existe au moins 97 études montrant des liens entre les vaccins et l’autisme.

    - En plus d’avoir admis qu’il avait commis une fraude en exonérant le vaccin RRO dans une étude du Centers for Disease Control (CDC) en 2004, le Dr William Thompson, un scientifique du CDC, affirme qu’il existe un lien entre le mercure (thimérosal) dans les vaccins et l’autisme. - Depuis 1991, lorsque le CDC et la FDA ont recommandé que trois vaccins supplémentaires mélangés avec l’agent de conservation [thimérosal] soit donnés aux très jeunes enfants […], le nombre estimé de cas d’autisme a augmenté de 15 % [en 2005], passant de un enfant sur 2500 à un enfant sur 166. (Ibid.)

    Les cas signalés de sclérose en plaques ont augmenté de 9,5 % en 5 ans à l'échelle du globe (source : allo docteur.fr dans "toujours plus de cas dans le monde"). L'Amérique du nord et l'Europe sont les continents très majoritairement vaccinés contre l'hépatite B et très majoritairement atteints par la sclérose en plaques.

    La cour de justice de l'union européenne vient de reconnaître (le21 juin 2017) un lien de causalité entre le vaccin de Sanofi Pasteur contre l'hépatite B et la sclérose en plaques.

    Une augmentation de 65 % de cette maladie a été notée après le pic de vaccination contre l'hépatite B en 1994 (source : sciences et avenir du 28 juin 2017). Révoltant ! Lors de la campagne de vaccination de masse contre l'hépatite B, le laboratoire pharmaceutique Pasteur Mérieux déclarait que la salive était un important vecteur de contamination. Cette campagne de désinformation, volontairement alarmiste, n'avait qu'un but clairement affiché par ce laboratoire. Celui-ci écrivait que sur le marché de la vaccination, les adolescents sont un segment très porteur, il faut dramatiser. Texte de la plaquette de laboratoire : "il faut faire peur avec la maladie, il faut dramatiser".

    Il faut savoir que les vaccins échappent à un certain nombre de contraintes réglementaires qui sont obligatoires pour la mise au point de médicaments. Les vaccins, par ailleurs, n'ont pas tous la même pertinence clinique, ni le même intérêt individuel ou collectif, ni le même profil de tolérance. Les adjuvants (surtout l'aluminium et le mercure) ont été largement décriés par des institutions scientifiques reconnues, des professeurs et médecins émérites. La multi vaccination (11 valences) sur stimule le système immunitaire du receveur alors que, dans la nature, on ne rencontre qu'une maladie à la fois.

     

    2 : Madame la ministre de la santé évoque les recommandations de l'OMS.

    A l’origine, l’OMS était censée ne recevoir ses fonds que des gouvernements des Nations Unies, mais depuis quelques années, afin d’augmenter ses capitaux, l’OMS a mis en place ce qu’on appelle un « partenariat privé » qui lui permet de recevoir des aides financières d’industries privées. Mais quelles industries ?  

    Depuis lors, sa crédibilité, sérieusement entamée, ne s’est guère améliorée, et son indépendance est plus que controversée à cause de son manque total de transparence sur les preuves scientifiques étayant ses recommandations et sa collusion avec les multinationales industrielles. Il est évident qu’au niveau mondial les affaires et la politique influencent fortement la santé.

    Qui sont les experts français ? Pour la France, on retrouve, parmi les Conseillers de l’OMS et du Groupe SAGE (groupe stratégique consultatif d'experts sur la vaccination), plusieurs membres de l’Agence de Médecine Préventive (AMP), […] agence dont le partenaire industriel indiqué est « Sanofi Pasteur, Sanofi Aventis ». Sont également présents, le Pr. Daniel Floret, Président du Comité Technique de Vaccination qui déclare de nombreuses collaborations avec l’Industrie pharmaceutique, plusieurs membres du laboratoire Sanofi Pasteur, indiqués comme tels, un membre du laboratoire Sanofi Pasteur MSD et quelques autres membres issus de l’industrie pharmaceutique basés en France.

    Merci au site http://www.santelog.com/modules/ pour avoir reproduit ces extraits de ce document provenant de l’OMS.

    La réputation sans taches de l’OMS avait déjà été entamée par un livre paru en 1997, L’OMS : Bateau ivre de la santé publique, Ed. L’Harmattan, de Bertrand Deveaud, journaliste, et Bertrand Lemennicier, professeur agrégé d’économie.

    Le président de la commission de la santé au conseil européen, le docteur Wolfgang Wodarg, dénonce un groupe de personnes de l'OMS, associées de manière très étroite à l'industrie pharmaceutique.

    La liberté fondamentale de disposer de notre corps et le droit à notre intégrité physique sont bafoués. Cette liberté devient même un droit à revendiquer.

    L'industrialisation s'est déjà appropriée la vie sous toutes ses formes : végétaux transgéniques, élevages intensifs, etc..., et maintenant l'homme directement, avec la complicité de l'état, qui régente tout, sous couvert de paternalisme. L'idée de souveraineté individuelle effraie le monde politique, mais Madame la ministre de la santé pourrait entendre que la confiance s'éprouve dans les faits et se mérite. Toute velléité d'opposition et même de demande d'éclaircissement, est perçue comme émancipatrice et provocatrice.

    Je considère que la vaccination obligatoire est comparable à un viol ! Le droit consacré par la loi du 4 mars 2002 de refus de traitement, opération etc ..., est pourtant le corollaire au droit de consentement. Ne pas consentir à recevoir quelque chose dans son corps, mais y être contraint, est assimilable à un viol ! Pour le docteur Vincent Reliquet, quant à lui,c'est un sordide jeu de roulette russe.

    Après relecture des propositions de campagne du candidat Macron, aucune trace du projet de la loi sur les 11 vaccins n'apparaît. Cependant, le premier ministre dans son discours de politique générale du 4 juillet 2017, s'est engagé sur une réforme en matière de santé, rendant obligatoires les vaccins unanimement recommandés par les autorités de santé. Le président, Monsieur Emmanuel Macron aurait bénéficié, pour sa campagne, du soutien de Monsieur Serge Weinberg, président de Sanofi, principal producteur de vaccins français. Ce serait grâce à lui aussi, que Monsieur Macron serait arrivé chez Rothschild, selon le magazine Challenges. La somme de 110 millions d'euros tombera chaque année dans la poche de l'industrie pharmaceutique via nos cotisations obligatoires : une sorte de double peine qui ne serait pas si grave si elle ne touchait pas au sacré, nos enfants !