• La guerre contre les narcos racailles

    @acturegard33

    la guerre contre les narcos racailles.

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    Les "racailles de France" affichent leur colère

    Lutter contre les "narcoracailles" : quel éventail dans le ventrail des addictions ?

    A M., Djibril et Anastasia... pour la diminution du trafic de drogue, notamment en démantelant des "points de deal", qui distribuent des drogues dures, comme la cocaïne ou le crack, qui mériteraient une étude approfondie afin d'examiner, d'évaluer les mécanismes à l'oeuvre, depuis les rackets jusqu'aux guerres de gang, en passant par les meurtres de policiers et des "bavures" regrettables.

     

    La lutte contre le narcotrafic en France est une priorité croissante pour les autorités, et plusieurs mesures ont été prises récemment par le ministère de l'Intérieur et d'autres institutions pour contrer ce phénomène en pleine expansion, en pleine poursuite de la direction choisie par nos gouvernant au lieu de se préoccuper du phénomène des addictions, contre les lesquelles la lutte peut d'avérer particulièrement difficile pour nos forces de l'ordre, pouvant conduire à des coopération dans les quartiers, entre dealers et police nationale ou municipalisée....  

    En 2024, 4, les saisies de drogue ont atteint des niveaux record, avec une augmentation spectaculaire de la cocaïne saisie sur le territoire, multipliée par cinq en dix ans. De plus, la prolifération de nouvelles drogues de synthèse, souvent produites en Europe, ainsi que la persistance d'une consommation élevée de cannabis et d'héroïne, mettent la France dans une situation critique, affectant aussi bien les grandes villes que les zones rurales, contrairement aux idées reçues ou éculée, de nouvelles drogues consommées depuis des lustres, dans des endroits particulièrement  glauques  (comme avec les "salles de shoot" ou certaines zones sensibles, et très mal répartis sur le territoire...

    Le ministère de l'Intérieur a intensifié ses efforts via des opérations policières ciblant les « points de deal », estimés à plus de 3 000 à travers le pays. Des campagnes ont également été lancées pour renforcer les sanctions financières contre les trafiquants, frappant leurs réseaux économiques. La commission d'enquête sénatoriale de 2024 a également souligné que, bien que l'engagement des forces répressives soit fort, la réponse de l'État doit être mieux coordonnée et adaptée à la complexité croissante des réseaux criminels, notamment avec l'ubérisation du trafic et les commandes en ligne, qui ont explosé ces dernières années, malheureusement, mais inévitablement, tant que cette économie "au noir" sera alimenté par une consommation croissante en raison du malaise croissant des jeunes générations....

    Le rapport sénatorial recommande un « traitement de choc » pour mettre fin à l'impunité des trafiquants, tout en renforçant les procédures judiciaires et en adoptant des moyens plus adaptés aux nouvelles méthodes des criminels, en même temps violentes et envoûtantes pour les jeunes issus des quartiers, dont la seule issue de secours est "dealer pour survivre" (Expression Direkt) et faire vivre leur famille, dans de relativement correctes conditions.

    Trouver des solutions de substitutions comme l'emploi direct ou des logements à prix au rabais pourraient permettre de ralentir ce fléau, qui perdure et s'accroît depuis les préaux d'école jusqu'aux halls d'immeuble, en passant par la vente via des applications téléphoniques, voire des sites web... Ces solutions de substitution ne pourront cependant pas remplacer un renforcement des moyen alloués aux structures d'accueil, comme les hôpitaux, les cliniques, les asiles psychiatriques ou tout simplement les centres d'addictologie, pour des traitements post-sevrage ou des situations d'urgence. 

    Mais rien ne pourra metre fin au malaise des jeunes générations, et même des plus anciennes, si une réponse préventive n'est pas mise en oeuvre, et non seulement répressive, notamment en directions des publics issus de l'immigration, particulièrement atteintes par les addictions comme la drogue, l'alcool, la cigarette, les jeux vidéos ou encore les réseaux sociaux. Ce malaise croissant, qui est le résultat désastreux d'un manque de confiance, depuis l'échec des politiques d'intégration jusqu'à la gabegie dans l'utilisation des crédits de la politique de la ville, ou, toit simplement la corruption des élites, via la mauvaise utilisation des deniers publics en faveur de clientèles électorales, d'une défiance vis-à-vis des institutions politiques et leurs dirigeants, leurs lacunes...

     
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