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    Un marin et un soldat lisent l'affiche de "L'Appel du 18 juin" du général de Gaulle. ©Getty - Culture Club

     


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    la justice en France - le cellier info

     

    Mieux connaître l’opinion que les personnes ont de la justice

     

    Enquête sur la justice en France (EJF - 2024)

    L’enquête EJF, réalisée par le service statistique ministériel de la justice (SSM justice), a pour objectif de mieux connaitre l’opinion que les personnes ont de la justice et leur niveau de confiance en l'institution, de mesurer la satisfaction des personnes ayant déjà eu affaire à la justice et, enfin, d'interroger le non-recours à la justice autour de quatre grands contentieux au civil.

    https://www.justice.gouv.fr/documentation/etudes-et-statistiques/enquete-justice-france-ejf-2024#preferences-cookies


  •  Image illustrative de l’article Amish

    La vie des Amish : Âge du mariage et traditions en matière de grossesse

    Explore les aspects intrigants de la culture amish, de l'âge du mariage aux traditions en matière de grossesse, en passant par les pratiques de contrôle des naissances et les aspects financiers. Plonge maintenant.

     

    • Au sein de la communauté amish, l'âge du mariage se situe généralement entre le début et le milieu de la vingtaine, ce qui correspond généralement à l'âge moyen de la grossesse.
    • Malgré l'idée reçue, les Amish ne paient pas pour tomber enceinte. Comme dans toute autre culture, les grossesses amish se produisent naturellement après le mariage.
    • Les mariages amish sont souvent programmés à la fin de l'automne, après la fin de la saison des récoltes. Ce moment particulier permet à la communauté d'aider le couple à s'installer dans une nouvelle vie.
    • Bien que la question du contrôle des naissances soit généralement abordée en privé, de nombreux couples amish n'y ont pas recours, car ils croient que chaque enfant est un don de Dieu.

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    Marseille frappée par la violence croissante du trafic de drogue

    Les règlements de comptes se multiplient. Dans la nuit de samedi à dimanche, trois jeunes hommes ont été tués. La police judiciaire recense depuis le début de l’année quinze décès en lien avec les trafics de stupéfiants.

    Par Luc Leroux (Marseille, correspondant)

    Fusillade sur le parking du supermarché Auchan Saint-Loup ayant fait deux blessés graves, à Marseille (Bouches-du-Rhône), le 20 août 2021.

     

    Fusillade sur le parking du supermarché Auchan Saint-Loup ayant fait deux blessés graves, à Marseille


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    https://www.lemonde.fr/societe/article/2021/08/23/a-marseille-l-ete-meurtrier-n-en-finit-plus_6092087_3224.html

    Depuis la fin du mois de juin, Marseille connaît une flambée de violences liée aux guerres de territoires auquel se livrent les réseaux de revente de stupéfiants. Deux nouveaux règlements de comptes ont fait trois victimes dans la nuit de samedi 21 à dimanche 22 août. A minuit, dans la cité de la Marine bleue (14e arrondissement), une des plus paupérisées de la ville, deux hommes âgés de 25 et 26 ans ont été tués par un commando circulant à bord d’au moins deux véhicules.

    Une heure plus tard, en centre-ville cette fois, dans le quartier tranquille des Chartreux (4e arrondissement), la police a été alertée de coups de feu et de l’enlèvement d’une personne. Le corps carbonisé d’un homme de 27 ans a été retrouvé un peu plus tard dans un véhicule incendié dans un autre quartier. Ces deux faits distincts pourraient être liés, selon les enquêteurs. Les trois victimes, connues des services – l’une d’entre elles a été condamnée à douze reprises –, devaient être prochainement jugées. La police judiciaire recense depuis le début de l’année quinze décès en lien avec les trafics de stupéfiants. Le maire socialiste de Marseille, Benoît Payan, a déclaré lundi 23 août dans un entretien à Franceinfo qu’il « n’[avait] pas l’intention de rester les bras ballants, regarder les balles passer et compter les morts tous les jours ». Il demande à ce que « l’Etat crée un parquet spécial à Marseille pour lutter contre les trafics de drogues ».

     

    Ces deux nouveaux règlements de comptes portant le sceau du narco-banditisme interviennent trois jours après une fusillade sur un point de guet dans les quartiers nord de Marseille qui avait coûté la vie à un adolescent de 14 ans et blessé son ami du même âge.

     

    Ciblé par deux individus arrivés sur un scooter vers 22 heures, le garçon qui est mort à son arrivée à l’hôpital a été abattu dans le dos. L’autre a été touché par deux projectiles ; l’un lui a traversé un mollet, le second l’a atteint aux côtes. Dans la fusillade, un enfant de 8 ans qui se trouvait dans le véhicule de ses parents, penché à la fenêtre, a été blessé au front par un éclat métallique – une expertise dira s’il s’agit d’un fragment de balle ou non. Des blessures finalement sans gravité.

    « Des victimes de plus en plus jeunes »







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