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Entre les propositions des candidats, qui sont présentées par la presse du Capital, qu’ils soient leaders de la droite, de l’extrême droite, du centre, de la gauche réformiste, il est difficile de choisir.
A ce jour aucun candidat ne propose de rompre avec le système capitaliste, aucun d’entre eux ne parle de répartition des richesses en faisant payer le Capital.
La Droite
Tout au plus la droite, incarnée par Fillon, prêche l’austérité, l’aide aux entreprises pour favoriser l’emploi tout en pataugeant dans des histoires d’emplois fictifs.
L’extrême droite F.N avec un langage « attrape nigauds » parle d’aider les défavorisés sans parler de taxer la fortune ni les patrons, son langage répressif et raciste ne redresseront pas la situation économique et sociale des travailleurs en France.
Le Centre qui ne sait pas encore ce qu’il va faire mais qui semble s’orienter vers Macron ??
La Gauche.
Là c’est autre chose !! Les médias parlent du PS comme étant l’incarnation de la gauche alors que ce dernier est confronté à des luttes intestines entre partisans de droite réformateurs et partisans de la gauche réformiste. Entre Valls qui prône l’austérité et le financement des entreprises et Hamon qui lui fait du revenu universel son cheval de bataille restant évasif quand à son financement, l’union du PS semble bien compromise.
En ce qui concerne Macron, l’incarnation de la finance, il est formidable que la grande presse tienne à le situer à gauche quand ce dernier clame être ni de gauche ni de droite. Pour lui qu’importe, l’important c’est de gagner un maximum de voix pour défendre les couleurs des patrons. Son programme tourne autour des intérêts des gros actionnaires cherchant à réduire les frais financiers en aggravant les conditions de vie et de travail des salariés. Qui finance sa campagne et avec quels moyens ??
Puis vient Mélenchon, la presse le situe à l’extrême gauche ? Tribun confirmé fort en effet de manche, qui propose la 6ème république et le changement de constitution. Mais pas une seule fois il parle de rupture avec le capital, de quitter cette Europe au service des financiers. Autrement dit, il propose, en bon réformiste, une révolution socialo patronale qui existe depuis déjà depuis plus de 200 ans ?? Ce système n’est pas viable ou l’on défend la classe ouvrière, ou l’on défend l’exploitation par les patrons il est impossible d’être assis entre deux chaises. La sociale démocratie qui règne en Europe ne nous a amenés que chômage et misère. Il est fort à penser que si Hamon est présent au deuxième tour alors Mélenchon appellera à voter pour les socialistes !! Ainsi la Sociale démocratie continuera de plus belle.
Il existe des partis d’extrême gauche, mais la grande presse ne leur accorde pas d’audience. Elle favorise ainsi la continuité du système, laissant ses leaders politiques de la sociale Démocratie jouer à la bataille et s’enrichir sur le dos des besogneux. Ces grands médias orientent la pensée de l’électorat vers le FN ou vers Macron dans les deux cas le Capital sera gagnant. Comment avec de tels moyens d’informations, pouvons-nous espérer que les Français renouent avec la politique de notre pays ??
Pourtant si nous voulons du changement il faut dire NON à l’intoxication de la grande presse. Dire NON à la censure des représentants salariés. Dire NON à l’hégémonie du Capital.
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Charles Gave : "les médias une entreprise de cirage de chaussures"
EXTRAIT DE L'ENTRETIEN AVEC CHARLES GAVES
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Decodex, le moteur de recherche pour les mougeons
Le journal « Le Monde » qui appartient à des privés mais qui reçoit plus de 5 millions d’euros par an de subventions d’état, a mis en place son moteur de recherche de sites internet d’information pompeusement intitulé « Decodex ». Cette vidéo démontre que ce moteur de recherche n’est qu’une mascarade.
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Élus, corruption, fraude, et démocratie : Rencontre avec Philippe Pascot - CCI de Nîmes - 26 Janvier 2017
Une fois de plus, Philippe Pascot nous livre des informations factuelles et choquantes démontrant définitivement que notre système politique est corrompu jusqu'à la moelle.
Ça devient de plus en plus intolérable.
Une vidéo à ne manquer, quel que soit votre bord politique.
À voir absolument !
Nota Bene :
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- Pour toutes les vidéos de la catégorie "Politique, Démocratie, Libertés, et Altermondialisme", cliquez [ici].
Dans le cas où les liens ci-dessus seraient brisés, vous pouvez les retrouver ici : http://www.blueman.name/Des_Videos_Remarquables.php?NumVideo=8599.
Tags : France Politique Justice Démocratie Corruption
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Pourquoi vous feriez mieux de ne pas taguer vos amis sur Facebook
HIGH-TECH Facebook améliore à vitesse grand V sa technologie de reconnaissance faciale grâce aux milliards de photos que nous postons et taguons, et alors que nos visages sont une caractéristique biométrique...
MATHIEU PATTIER/SIPA
De retour de vacances à Nans-les-Pins avec des amis, vous publiez quelques photos et y « taguez » vos proches, par réflexe. Vous permettez ainsi aux amis de vos amis d’avoir accès aux photos. Mais vous rendez aussi service à Facebook : vous ajoutez quelques données (ici, des visages associés à une identité) à la base déjà astronomique que le réseau social détient. Et vous lui permettez d’affiner, mois après mois, son système de reconnaissance faciale.
Une IA toujours plus puissante
Le 2 février, Facebook annonçait l’arrivée de « Lumos », une nouvelle plateforme qui permet de retrouver une photo même si celle-ci n’a pas été taguée ou identifiée par des mots-clés. Il suffit de la décrire en quelques mots («chat», «chapeau de paille»). Entraînée sur «plus de 130.000 photos publiques, partagées sur Facebook et comprenant des personnes » (environ 350 millions de photos sont envoyées chaque jour), l’intelligence artificielle est capable de reconnaître les éléments d’une photo (lieux, objets, monuments, animaux ou action, comme « une personne qui court »…). Ce qui pourra aider chacun à s'y retrouver dans des centaines de photos, et comme Facebook le souligne à chaque fois, être utile aux personnes malvoyantes.
Le CTO de Facebook montre les progrès de l'AI pour identifier une photo #websummit pic.twitter.com/LFVGWlat2T
— Annabelle Laurent (@annabelle_L) November 8, 2016(Facebook présente les progrès de son IA en reconnaissance d'image, au Web Summit, en novembre 2016.)
Ce nouveau progrès (impressionnant) de Facebook nous rappelle une chose: en postant et/ou taguant des photos, nous fournissons la matière avec laquelle le réseau perfectionne - et il n'est pas le seul! - son système de reconnaissance faciale, quitte à ce qu’il vienne menacer notre vie privée.
Votre visage repéré parmi 800 millions de photos
Pourquoi? Parce que notre visage est, au même titre qu’une empreinte digitale, une caractéristique biométrique, de plus en plus utilisée pour l'identification, notamment dans les aéroports. Par ailleurs, entre de mauvaises mains, ce gigantesque album photo, bien plus riche que celui que détiennent les Etats, pourrait mettre en péril notre «confidentialité biométrique», comme s'en inquiétait en juin dans le Washington Post Ben Sobel, chercheur au Centre sur la vie privée et la technologie de Georgetown. «L’anonymat en public pourrait être une chose du passé», avertissait-il.
>> A lire aussi : TES: La moitié des Français opposés au mégafichier controversé
« Imaginez que vous prenez un selfie dans un lieu public. Un aéroport ou une gare. Des centaines de personnes sont présentes, certaines font face à la caméra. Devinez quoi : l’intelligence artificielle de Facebook vient de les repérer [en reconnaissant leur visage] », écrit Alex Yumashev, fondateur de Jitbit et « hacker », dans un article du 3 février posté sur Medium : «Facebook est terrifiant». Son idée est que l’intelligence artificielle serait devenue si performante qu’elle pourrait associer votre visage à votre identité où que vous soyez, pour peu que la photo lui soit soumise. En réalité, les visages repérés dans une foule sont bien plus difficiles à exploiter qu'une photo de profil Facebook.
Alex Yumashev rappelle l’existence de DeepFace : déployé par Facebook en 2014, le programme (conçu grâce à plus de 4 millions de photos de 4.000 personnes) lui permet de reconnaître que deux visages appartiennent à la même personne, avec une précision de 97,25 %. Facebook se targue aussi d'être capable de vous identifier parmi 800 millions de photos, en moins de 5 secondes, et même si vous êtes masqué.
Les zones du visage utilisées par Facebook pour la reconnaissance d'image. - FACEBOOK
Aucune protection ?
Nous laisserions donc notre visage, soit une donnée biométrique, être exploitée sans protection? Oui et non. Pour faire simple, l’arsenal juridique français est protecteur mais n’empêche rien dans les faits.
Il y a bien « la loi de 1978 sur la protection des données personnelles, et l’article 9 du Code Civil qui protège la vie privée et le droit à l’image », explique Nicolas Bénoit, avocat spécialiste des nouvelles technologies. D’après la loi de 1978, la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) considère que l’utilisation des données doit faire l’objet d’un consentement de l’utilisateur.
En 2012, Facebook indiquait avoir « accepté de suspendre » en Europe son outil de reconnaissance faciale et souhaitait trouver « la façon appropriée d’obtenir le consentement des utilisateurs pour ce type de technologie selon les règles européennes ».
Depuis 2012, la suggestion d'identification «lorsque vous semblez apparaître sur une photo téléchargée» a été désactivée pour les utilisateurs européens - FB
Depuis, l'option qui proposait automatiquement les noms des personnes figurant sur vos photos a été désactivée en Europe. Mais au sujet de la protection des données biométriques, « cela n’a aucun effet concret », souligne Nicolas Bénoit. Car « ces données sont stockées sur des serveurs aux Etats-Unis - ce que vous acceptez si vous signez les conditions générales de Facebook -, et nous sommes alors soumis à la bonne volonté des plateformes comme Facebook. » Il poursuit : « Sauf recours à la CNIL, se battre seul et sans soutien financier est complexe. »
Fin 2015, la justice européenne a invalidé l’accord « Safe Harbor » qui permettait depuis 2000 le transfert de données personnelles d’Europe vers les Etats-Unis au motif que le pays protégeait insuffisamment la vie privée. Mais les données continuent d’être transférées vers les Etats-Unis. Pour l'instant du moins: Facebook est poursuivi à ce sujet à Dublin, dans un procès qui s’est ouvert le 7 février.
Premier réflexe à adopter: ne pas taguer
To tag or not to tag. - FB
En mai 2016, un juge californien a estimé que les utilisateurs du réseau social étaient en droit de protester contre la collecte de leurs données biométriques. Le tribunal a accepté « comme vraies les allégations des plaignants selon lesquelles la technologie de reconnaissance faciale de Facebook comprend un scan de la géométrie faciale fait sans le consentement des plaignants ».
Pour l’avocat Nicolas Bénoit, « le problème n’est pas tant que l’utilisateur donne à Facebook toutes ses photos, mais le stockage de toutes ces données biométriques associées les unes aux autres ». En attendant que Facebook soit confrontée à ses obligations, un premier réflexe peut être adopté, celui de ne «jamais taguer» les photos que vous postez, puisque le tag associe formellement à un visage le nom d’une personne. Il résout donc le problème n°1 de l'apprentissage d'un algorithme: la difficulté qu'il y a étiqueter l'immense somme de données qu'il doit analyser. Une fois plusieurs photos d'une même personne récoltées, l'IA peut extraire automatiquement les traits de son visage, sans aucun doute qu'Albert soit bien Albert.
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On se souviendra de ces propos tenus par Vladimir Poutine à la Conférence internationale de Valdaï, en octobre 2015 : « Il y a 50 ans déjà, à Leningrad, la rue m’a appris une règle : si la bagarre s’avère inévitable, il faut frapper le premier. » Déjà, à la Conférence de 2014, il avait mis cartes sur table et identifié les pas à franchir pour surmonter les obstacles et œuvrer dans le sens d’une paix respectueuse du droit des peuples à leur propre développement. Il a appelé « à mettre en place un "système explicite d'engagements et d'accords mutuels" afin de prévenir l'anarchie mondiale. » Depuis ce temps que s’est-il passé ?
D’abord en Syrie
On peut relever le fait que la volonté des États-Unis et de ses alliés à collaborer avec le gouvernement syrien et la Russie dans la lutte contre le terrorisme n’aura été qu’une diversion pour renforcer leur soutien aux forces terroristes opposées au président Bachar Al Assad. Tout au long de ces deux dernières années, la Russie a fait le constat à plusieurs reprises que les interlocuteurs, sous la gouvernance d’Obama, ne tenaient pas parole et n’étaient tout simplement pas fiables. Ce fut le cas, lors de l’accord visant l’élimination des armes de destruction massive, motif invoqué pour mener cette guerre contre le gouvernement de Syrie. Une fois ces armes de destruction massive éliminée, les États-Unis et la coalition internationale n’en continuèrent pas moins à chasser du pouvoir, le Président légitime.
Pour le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, ses interlocuteurs ne tinrent pas parole, en ce sens qu’ils poursuivirent la guerre contre Bachar al Assad même si ce dernier ne disposait d’aucune arme de destruction massive.
Ce fut, également le cas, tout récent, de la trêve convenue de cessez-le-feu, en septembre dernier. L’armée américaine aurait bombardé, soi-disant par erreur, un contingent de l’armée syrienne. Il y eut des morts et des blessés. Un comportement que les interlocuteurs russes considérèrent comme une tricherie froidement calculée. Cette guerre contre le terrorisme nous révèle les dessous d’un jeu dangereux de l’Occident avec les terroristes pour atteindre leur objectif du renversement du Gouvernement. Ce jeu dangereux s’est révélé au grand jour lors des évènements qui ont conduit à la libération d’Alep. On a pu y constater que les terroristes agissaient en lien étroit avec les États-Unis et la coalition, dite internationale. Voir à ce sujet ce bref article.
Puis l’Ukraine
Si nous regardons maintenant ce qui s’est passé du côté de l’Ukraine, le constat en est tout aussi désolant. Les bonnes volontés, exprimées à travers les accords de Minsk, n’ont donné suite à aucune des mesures fondamentales de nature à résoudre les problèmes entre le gouvernement central de Kiev et les républiques du Donbass, particulièrement de Donetsk et de Lougansk. Le panorama est des plus tristes et les populations de ces républiques sont soumises à des bombardements qui vont à l’encontre des ententes de Minsk 1 et de Minsk 2. Vladimir Poutine a beau interpeller les membres participants à ces ententes, mais rien n’y fait. Il y a six jours, le président de Russie qualifiait ces attaques de barbares,
Kief reconnaît ouvertement qu’elle mène une guerre contre le Donbass. Ses partenaires occidentaux, parties aux ententes de Minsk ne semblent pas pressés pour exiger que les accords prévus dans celles-ci soient respectés. Une véritable crise humanitaire secoue cette région depuis le coup d’État réalisé sous la direction des États-Unis et de ses alliés de l’Europe. Rien pour convaincre Poutine de la bonne foi de ses interlocuteurs. À lire également .
Enfin les forces de l’OTAN aux frontières de la Russie
Tout le monde sait maintenant que lors de l’entente entre Gorbatchev et Reagan, au moment de l’écroulement de l’ex-URSS, que l’Occident se garderait d’étendre les forces de l’OTAN aux frontières de la Russie.
« Le cœur de ce débat se situe autour de l’échange qui a lieu au Kremlin le 9 février 1990 entre le secrétaire d’État américain, James Baker, et le dirigeant soviétique, Mikhaïl Gorbatchev. Après une large discussion sur le futur statut d’une Allemagne unifiée, Gorbatchev promet de « réfléchir à tout ça » en ajoutant : « Il est entendu, c’est clair que l’élargissement de la zone de l’OTAN est inacceptable. » Et Baker de conclure : « Nous sommes d’accord avec cela. »
Force est de reconnaître que tout au long de ces dernières années, la présence des forces de l’OTAN s’est accélérée aux frontières de la Russie. Ce genre de déploiement n’est pas de nature à semer la confiance. Bien au contraire, Poutine ne la trouve pas drôle du tout. L’OTAN n’en démord toujours pas.
TRUMP PEUT-IL FAIRE LA DIFFÉRENCE
Il ne fait aucun doute que le président Poutine a attendu l’arrivée de ce nouveau Président dont les intentions laissaient entrevoir de nouvelles approches dans la manière de concevoir les relations internationales entre les États et de façon particulière avec la Russie, la Chine, l’Iran, la Syrie, l’Ukraine. À écouter les déclarations de son Secrétaire d’État, les perspectives d’un changement dans le sens du respect des peuples à décider de leur destin ne semblent pas très prometteuses.
POUTINE AURAIT-IL PRIS UNE DÉCISION SUR L’UKRAINE ?
Ce n’est pas d’aujourd’hui que la Russie se prépare à toutes les éventualités d’une guerre toujours possible. Dans le cas présent, l’ordre de se préparer à un temps de guerre laisse sous-entendre que Poutine va agir et qu’il faudra être alerte pour contrer toutes les attaques provenant de l’extérieur. Voici ce qu’il demande à toutes ses forces armées :
« Une attention particulière devra être accordée à la prise en charge des alertes, au déploiement des systèmes de défense aérienne pour des temps de guerre ainsi qu’à la capacité des groupes aériens à repousser les agressions »,
Ce qui se passe en Ukraine est devenu intolérable. Les pays signataires des accords de Minsk ne semblent pas préoccupés par les attaques du gouvernement central de Kiev contre les Républiques populaires de Desk et Lougansk. Le nouveau président Trump ne semble pas se positionner autrement qu’Obama.
Que conclure ?
Les espoirs placés en ce nouveau Président des États-Unis, surtout en matière internationale, ne semblent pas trouver écho profond dans la nouvelle administration. Je crois que Vladimir Poutine en a déjà tiré ses conclusions. S’il agit le premier en territoire ukrainien, Trump devra se positionner par rapport aux ententes de Minsk et au respect des peuples.
Oscar Fortin
Le 8 février, 2017