• ou « l’hyperbole du système et de la duplicité ». Imhotep, ancien chroniqueur d’AgoraVox, lance une diatribe contre Macron, dans un livre de 103 pages, aux éditions La Pyramide. Il décrit une sorte d'extra-terrestre, avec un cursus « hors compétition », qui semble être son plus gros handicap ! L’homme, euphorisé, navigue dans un ballon de baudruche, surgonflé à l’hélium par les médias « installés », par un aréopage de politiciens sur le retour et surtout par de riches supporters qui ont vu l’opportunité de placer un homme à leur main, à l’Elysée. Sans concession vis-à-vis de celui qu’il voit comme une marionnette politique, l’auteur livre son éclairage sur la réalité du personnage, sa face cachée, ses zones d’ombre, au moment où beaucoup se laissent abuser par l'éphémère arc-en-ciel Macron.

    JPEG Une élection présidentielle n’a rien d’anecdotique. Dans celle de cette année, est arrivé un candidat qui semblait venir de nulle part et qui truste les premières places dans les sondages. Ce livre n’est pas un livre sur l’idéologie de Macron, si tant est qu’il sache lui-même où il se situe. La position des candidats n’est pas mineure, et il est normal de s’en soucier. Ici, il s’agit d’autre chose, non d’un débat sur l’essence des pensées politiques, ni où l’on se situe par rapport à elles. Tout débat, tant qu’il est démocratique et non faussé, a un intérêt primordial.

    Ici il s’agit d’un OPNI (Objet politique non identifié) qui perturbe la démocratie en réalité. Il ne la perturbe pas parce qu’il serait un trouble violent pour l’ordre public, ni parce qu’il proposerait une dictature sanguinaire, mais parce que son parcours et son attitude sont une négation de la démocratie. En dehors du fait qu’il a pour soutien des poids lourds de la presse (Drahi avec l’Express, Libération, BFM TV, ou Bergé et Niel, Le Monde, Le Nouvel Observateur) ce qui fait que pendant 6 mois il a capté pour lui seul environ 43 % de la couverture médiatique politique, c’est son attitude depuis août 2015 qui m’a poussé à m’intéresser à lui. Depuis cette date il a été un pied dans le gouvernement et un pied dehors. Hollande a eu une faiblesse coupable à son encontre. Il est en quelque sorte celui qui a permis par son exposition, son poste de ministre, par sa nomination à ce poste et par son inaction pour le mettre dehors, à cette chimère de prospérer.

    Sans poste de ministre depuis 2015, il ne serait sans doute pas où il en est. La responsabilité de Hollande est majeure. Ce n’est pas le débat, même s’il faut en parler. En regardant de plus près les paroles et les actes de Macron une évidence est apparue. Encore une fois, c’est à d’autres de juger son fond politique (on attend toujours son programme).Ce qui est important en politique, et dans une démocratie apaisée où le débat est sain et nécessaire, c’est que ceux qui sont candidats à cette élection majeure aient des racines politiques profondes et une démarche de fond, et non de pure forme. Cette étude a permis de distinguer plusieurs angles de vue :

    - le parcours politique de Macron

    - la création de En Marche !

    - la démarche électorale de Macron.

    Une marionnette politique (ex-hollandiste) en guise de produit marketing

    Lors de cette étude, il est apparu aussi des zones sombres et, on peut se poser légitimement la question, de possibles abus de biens publics et détournements de fonds publics.

    Du côté politique, Macron a créé un personnage, une marionnette politique, qui est lui-même. Il a cherché, comme une multinationale voulant lancer un produit, quel était le positionnement politique qui lui permettrait d’accéder au pouvoir. De ce fait, il s’est situé ni droite ni gauche, bien qu’il fût adhérent trois ans au PS après trois ans avec Chevènement, qu’il fût candidat à la candidature en 2007 pour le PS, secrétaire général adjoint de l’Elysée, arrivé dans la musette de Hollande gagnant des Primaires socialistes, avec un programme (appliqué ou non peu importe) socialiste, dit comme tel, puis ministre de ce même pouvoir. L’étrange est que ce passé lui est indifférent comme à la presse.

    Son passé socialiste et son grenouillage dans tous les réseaux (Gracques, DSK etc.) et son passage à l’ENA lui auront permis d’entrer à la Banque Rothschild pour finir par gagner l’insupportable et indécente somme de 2,4 millions d’euros en 18 mois pour entre autres, une opération capitalistique entre Nestlé et Pfizer. Il est entré dans cette banque grâce à Attali. Macron fait partie intégrante du système dont il fait figure d’hyperbole.

    Qui dit faire partie du système et se présenter comme neuf et hors système entraîne une deuxième « qualité » : la duplicité. Les trois sont intimement liés : Système/Anti-système/Duplicité. Se présenter, être le second quand on est dans le premier, impose d’user abondamment du troisième. La duplicité entraîne le mensonge.

    Les zones d’ombre de l’inquiétant mystique candidat du marché

     

    Etant candidat du marché, qu’il a analysé, cela lui fait être en permanence en contradiction. Un programme n’est pas nécessaire, seule compte la mystique de la politique et avoir des groupes de réflexion pour faire 100 propositions, vouloir des candidats neufs aux législatives, réserver 50 % des places aux parlementaires déjà élus, prendre des personnes comme Delevoye (70 ans, 37 ans de carrière politique) pour faire partie du jury de sélection (7/9 sont comme Delevoye), faire applaudir Mitterrand à Lille et Giscard à Lyon, dire qu’il n’y a pas de culture française et proposer en Algérie une chaîne qui associe les deux cultures, vouloir faire participer la population pour les propositions, vouloir un mandat impératif pour les députés qui seront élus sous sa bannière (ce qui est une dérive autoritaire) etc.

    Dans les zones d’ombre, il y a son aspect mystique, qu’il revendique presque. Il dit, par exemple, que Dieu est lié au reste, tout en disant qu’il ne sait pas si Dieu existe vraiment (vraiment est de trop, ou il existe ou non, il ne peut exister à moitié). Ce qui fait peur, c’est son attitude extatique, lors du meeting de Paris.

    Il faut aussi se poser des questions sur l’argent dont il a disposé et dont il dispose.

    L’histoire des 120 000 € a été bien trop vite évacuée par la presse, sous le double prétexte que Macron a dit que pas un euro n’était allé à son mouvement. Sapin a confirmé à la vitesse de l’éclair que son utilisation était légale (donc sans prendre le temps de faire une enquête).

    Il s’est servi de sa position de ministre pour faire sa promotion personnelle

    Sans même aller chercher loin, à quoi ont bien pu servi ces 120 000 €, -soit entre 500 et 700 € par jour- ? Cette somme n’aurait-elle pas dû servir le ministère de Macron, mais aussi les deux autres secrétariats d’état, ce qui est au minimum un vol moral de ces deux secrétariats d’état, et ce qui les a empêchés de fonctionner normalement.

    Il y a des faits certains et connus comme 4 réunions citoyennes, sans la presse, organisées par Bercy, dont la dernière, où il a annoncé la création de son parti, ce qui est d’évidence un abus de biens publics, puisqu’il s’est servi d’une réunion organisée par Bercy pour annoncer une initiative privée.

    Du reste c’est sans doute la première fois dans l’histoire de la République qu’un ministre crée un parti politique, alors qu’il est encore en fonction, et un parti d’opposition. Il y a aussi tous les dîners organisés pour les banquiers (et leur épouse) à Bercy, des invitations au politologue Rozès ou à Orsenna, qui n’ont rien à voir avec le ministère de l’économie, comme sa venue pour fêter Jeanne d’Arc en tant que ministre et pour parler de l’identité nationale qui n’est pas son domaine de compétence ministérielle, ou sa venue au salon de agriculture alors qu’il n’en est pas ministre ni n’est leader de parti.

    Opacité sur ses ressources financières

    Enfin, entre autres révélations, le livre raconte comment, en 2007, alors qu’il est fonctionnaire (il doit gagner 2 000 € par mois, à l’époque) il réussit l’exploit de s’acheter un appartement de 890 000 €, sans apport personnel, avec un premier prêt de 550 000 € auprès de son ami Hermand, et un autre, sans doute de 440 000 €, auprès du Crédit Mutuel. Toutes ces informations viennent de Macron lui-même et de sa déclaration de patrimoine. Comment a-t-il pu emprunter auprès du Crédit Mutuel, alors que le remboursement mensuel de ses deux emprunts représente quatre fois son revenu brut (avant impôts) ? Quel que soit le mode de calcul (remboursement mensuel, in fine) cette équation est impossible. L’achat date de juin 2007 et son entrée chez Rothschild ne date que de septembre 2008 (16 mois plus tard), cela ne peut donc pas venir de là.

    A ces remboursements, il faut ajouter les taxes foncière et d’habitation, et au départ les frais d’acquisition, qui ne peuvent être pris en charge par un emprunt, soit encore peut-être 40 000 €. Qu’Hermand veuille l’aider (hors le fait que cela puisse être un don déguisé (cf. l’affaire du prêt à Bérégovoy d’un million de francs), et à une telle hauteur (550 000 €) laisse déjà songeur. Comment la banque, elle, a-t-elle pu prêter à Macron, -alors qu’elle est soumise à des règles prudentielles strictes et même au-delà-, une somme dont les remboursements atteindraient 4 fois les revenus de l’emprunteur ? Il y a là à creuser, vite et profondément. On sait aussi que quatre de ses conseillers ont préparé son discours de juillet, quand il était encore ministre. On sait que beaucoup de ses collaborateurs se retrouvent dans la structure En Marche ! Etc.

     

    Le devoir de faire connaître la vérité sur Macron

    Ce livre vous montrera à partir de faits connus, vérifiés, indiscutables, les contradictions, mensonges, ethniques marketing du candidat Macron. Il y avait un devoir à les faire connaître, et ce serait du vôtre à faire que ce livre circule. Peut-être en parler aussi dans les forums et dans les commentaires sous les articles des grands média. Contrairement à mon habitude ce livre sera payant parce que je voulais qu’il soit aussi en livre et non seulement en eBook, ce qui impose qu’un prix soit aussi appliqué en version électronique. En version papier c’est bien évidemment impossible d’appliquer la gratuité. Il vous en coûtera soit moins de 10 € en livre soit moins de 6 € en eBook. De mon côté, bien que j’aie fait plusieurs semaines de travail et que selon Macron ce travail doit être rémunéré (je serai très loin des 2,4 millions qu’il a touchés), je m’engage à ce qu’une partie des revenus aille à une organisation d’aide aux illettrés, et une autre au Secours populaire français, qui pourront aider certains à avoir un costard. Imhotep

     

     

    Disponible :

     

    Format électronique 5,99 € :

    • FNAC

    http://www.fnac.com/livre-numerique/a10408454/Imhotep-Macron-L-insoutenable-legerete-du-paraitre

    • Amazon

    https://www.amazon.fr/dp/B06X19JQ1J/

    • iTunes

    https://itunes.apple.com/fr/book/id1205638291

     

    Format broché Amazon 10,31 € :

    https://www.amazon.fr/Macron-Linsoutenable-légèreté-paraître-Lhyperbole/dp/1543113680/

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  • Des bataillons entiers de hackeurs russes attaquent le site d'Emmanuel Macron à partir de l'Ukraine. La démocratie est « menacée », et la main de ma soeur dans la culotte du zouave.

    Apparemment, ce serait devenu un must, une sorte de consécration à laquelle doit accéder tout candidat pour asseoir sa stature internationale, et son rôle de défenseur de la liberté ; puisque chacun sait que les hackeurs russes Ukrainiens à la solde de Vladimir Poutine sont parmi ses pires ennemis. Accessoirement, c'est aussi très pratique pour détourner l'attention populaire de ses propres errements, comme ce fut le cas pour le DNC, la Convention Nationale Démocrate. Et si l'on devait malgré tout perdre quand même les élections, cela s'avère très pratique pour rejeter la responsabilité de son échec sur « les Russes ». Réchauffé ? Sans doute, mais n'est-ce pas dans les plus vieilles casseroles qu'on fait le meilleur bouillon ? 

    Quand l'anathème vaut preuve

    Il semblerait que nos gouvernants, relayés par leurs chiens de garde[1], aient décidé que désormais, désigner l'ours russe comme responsable vaut automatiquement pour condamnation d'une action d'ingérence intolérable. Plus besoin d'enquête, plus besoin de preuves ; la presse aux ordres se fait adjoint du procureur, greffier méticuleux au procès et commis du bourreau lors de l'exécution publique. La post-vérité dans toute sa splendeur.

    S'agissant d'un domaine technique, et plus encore, relevant d'un domaine entouré d'une aura de mystère, il est assez facile de faire circuler les histoires les plus farfelues, la majorité de la population n'y verra que du feu. Et le temps que la supercherie soit éventée, si elle devait l'être, l'élection sera passée. Ce qui compte ici ce ne sont pas les faits, mais bien les bénéfices escomptés en terme d'image. Une énième campagne de com' du candidat Macron, qui faute de programme en est réduit à ce genre d'expédients pour continuer à exister jusqu'au premier tour, le 22 avril prochain. L'idée même repose sur un sophisme : le candidat Macron doit être un candidat formidable puisqu'il a un ennemi personnel aussi formidable que la Russie, incarnée par son Président.

    Et si nous y regardions de plus près ?

    Je me propose de vous détailler par le menu[2] en quoi toute cette affaire est une vaste fumisterie, une invention destinée à monopoliser l'attention du public sur un candidat qui se trouve être la coqueluche des médias, et le candidat des oligarques qui les contrôlent.

    Comparaison n'est pas raison.

    À part « les Russes » comme coupables tout désignés, il n'y a aucun rapport entre le soi-disant piratage du DNC et les allégations de l'équipe de campagne de Macron. Dans l'affaire du DNC, c'était John Podesta lui-même qui avait donné, sans le savoir, le mot de passe de son compte GMail au pirate. Il s'agissait d'un banal cas d'hameçonnage. Les « services de renseignement » ont bien essayé de faire croire le contraire, mais sans jamais apporter la plus petite preuve à l'appui de leurs dires.

    Attaques répétées contre le site de campagne « En Marche »

    Sur France 2, Le secrétaire général (du parti En marche), Richard Ferrand déclarait :

    « Je dis qu’il y a ça d’un côté, et il y a des centaines, voire des milliers, d’attaques sur notre système numérique, sur notre base de données, sur nos sites. »

    Oui, donc en gros, des « attaques » contre le site de campagne. Or il faut savoir que pour un même domaine (exemple : en-marche.fr), il peut y avoir une multitude de serveurs, accessibles via internet ou pas, servant à héberger aussi bien le site web public qu'un serveur de courrier ou tout autre serveur d'application. Et que parmi tous ces serveurs, forcément, ceux qui sont accessibles au public (internet) seront les plus exposés. Est-ce un problème ? En principe non, d'ailleurs ce type de serveur ne devrait en aucun cas héberger des contenus sensibles, il s'agit du front-office, la vitrine. Il ne viendrait à aucun commerçant l'idée d'exposer la caisse en vitrine, que je sache ?

    « Il semble qu'un membre de l'équipe de campagne ait découvert l'existence de fichiers de log sur son serveur »
    source : Figaro

    Dès qu'un serveur web apparaît sur la toile, et ceci est fonction de sa popularité, il sera sujet à des attaques. Oui oui, les Russes d'Ukraine, les Russes de Russie, les Chinois, mais aussi les Argentins, les Coréens, etc. Et non, il ne s'agit pas d'attaques « ciblées » mais bien de robots, des scripts parcourant inlassablement le web à la recherche de nouvelles victimes. Une fois qu'ils localisent une victime potentielle, ils lancent contre le serveur une série de requêtes destinées à évaluer sa vulnérabilité à un certain nombre de failles en espérant que le serveur tourne sous une version ancienne du logiciel dans lequel ces failles n'ont pas encore été colmatées.

    Tous les administrateurs systèmes savent cela, les historiques (logs) sont là pour en attester : tentatives de connexion à l'interface administrative, recherche de scripts bogués, de modules insuffisamment sécurisés, injections SQL (en vue de lire ou de modifier directement les données), tout y passe. Recenser 4.000 « attaques » en un mois n'a rien d'extraordinaire, contrairement à ce que voudrait nous faire croire l'équipe de campagne d'E.M.

    Pourquoi c'est du pipeau ?

    Eh bien sachant que de telles « attaques » sont le lot quotidiens des administrateurs système, et s'ils en concevaient la moindre inquiétude, vous conviendrez que l'équipe Macron n'aurait pas manqué de prendre toutes les mesures pour prévenir de telles attaques ?

    Or on apprend (figaro) que le site du candidat tournait jusqu'à hier avec une version obsolète de WordPress (4.4.2). Alors que la version actuelle de WordPress est la 4.7.2 et de nombreuses failles de sécurité ont été corrigées depuis par l'éditeur.

    Apparemment, depuis aujourd'hui, toute référence à WordPress a été supprimée des en-têtes (META), et le serveur est désormais abrité derrière Cloudflare, qui agit comme intermédiaire entre les internautes et le serveur de campagne. Ceci devrait le garantir contre les attaques en déni de service, les scans de port intempestifs et les recherches de failles.

    Et cerise sur le gâteau, ils peuvent maintenant, s'ils le souhaitent, fermer l'accès du serveur à toutes les requêtes qui viendraient d'Ukraine ou de Russie, ou de tout autre pays du « Grand Est ».

    Et ça va continuer

    Il ne faut pas se faire d'illusions, ce qui était visé, bien au-delà d'hypothétiques « cyberattaques russes », c'étaient les médias russes, tels Russia Today et Sputnik, qualifiés de « médias de propagande » :

    Dans les rangs d'En Marche ! on en est sûr, la Russie chercherait à déstabiliser la présidentielle française. C'est d'ailleurs le titre de la tribune publiée dans Le Monde mardi et signée par le secrétaire général du mouvement d'Emmanuel Macron, Richard Ferrand. Dans le viseur du proche de l'ancien ministre de l'Economie : le Kremlin, bien sûr, mais aussi des médias qualifiés de « médias de propagande », la chaîne de télévision multilangues Russia Today (RT) et l'agence de presse Sputnik, deux médias publics russes destinés aux opinions étrangères. Source : Europe1

    La bonne vieille propagande antirusse, et plus généralement tous les médias qui ne veulent pas danser sur l'air que l'oligarchie leur chante, comme en attestait le pathétique Decodex des « décodeurs » du Monde, détenteurs autoproclamés (et auto-certifiants) de l'orthodoxie et pourfendeurs des nouvelles « fausses » ou « orientées ».

    Gageons qu'en dépit des évidences, les « cyberattaques russes » contre bébé Rotschild ne seront jamais classées au rang de fausse nouvelle. Un petit sourire entendu et l'on passera à autre chose.

    Article original sur Le Vilain Petit Canard.

    Notes

    • [1] Les Nouveaux Chiens de garde : est un essai de Serge Halimi concernant les médias, paru en 1997 et actualisé en 2005, qui a connu un très fort succès de librairie (250 000 exemplaires) alors même que son auteur a réalisé une promotion très réduite puisqu'il ne l'a pas présenté sur les plateaux de télévision. Le livre a été adapté au cinéma en France en janvier 2012. Source : Wikipedia
    • [2] Sécurité informatique : Il se trouve que l'informatique est mon métier, et qu'un de mes dadas est la sécurité informatique. Ce n'est d'ailleurs pas qu'un hobby, mais une nécessité quand vous devez administrer des réseaux et développer des applications qui seront accessibles sur internet.

      Références : Europe1 (15.02.17) - Comment la Russie s'invite dans l'élection présidentiell... Politico (13.02.17) - Emmanuel Macron aide blames Russia for hacking attempts Le Figaro (15.02.17) - L'élection présidentielle française ravive le spectre ... L'Obs (15.02.17) - Le site de Macron piraté par des hackers russes ? Pas si sûr 20Minutes (13.02.17) - Presidentielle : Emmanuel Macron visé par la Russie et ... Le Monde (15.02.17) - Cyberattaques : la France menace de « mesures de rétors...


  • Paris: Qui est derrière la manifestation anticorruption de dimanche?

    RAS-LE-BOL Des milliers de personnes sont attendues place de la République à Paris, dimanche…

     

     

    Une manifestation du collectif Nuit Debout place de la République en août 2016.

    Une manifestation du collectif Nuit Debout place de la République en août 2016. - Thomas SAMSON / AFP

    Lucie Bras

    Dimanche à 15 heures, un rassemblement « contre la corruption des élus » est organisé place de la République à Paris. L’événement rassemble déjà plus de 6.400 personnes sur Facebook.

    Cette mobilisation a surpris l’organisateur Vincent Galtier, photographe, sans étiquette politique. « Je pensais qu’on serait 30, 40. Ça a pris très vite. »

    >> A lire aussi : Les Roumains vont-ils réussir à renverser leur gouvernement avec leurs manifs anticorruption?

    C’est en regardant la conférence de presse de François Fillon qu’il a eu envie de faire quelque chose. « Ça a ravivé ce que j’avais pu ressentir pendant l’affaire Cahuzac. Je me suis dit que ce n’était plus possible d’avoir ce problème de représentation, ça fragilise trop la confiance entre les citoyens et la classe politique. Certains élus n’ont plus la légitimité de nous représenter », explique-t-il.

    « Nuit Debout » impliquée dans l’organisation

    La demande de manifestation a été déposée à la préfecture de Paris mardi, avec des membres de « Nuit Debout ». « Je n’avais jamais fait de telles démarches et je me suis rapproché d’eux car je savais qu’ils avaient l’habitude », raconte Vincent Galtier.

    L’organisateur souhaite former une assemblée générale pour « se rencontrer et discuter ». Et pour faire entendre leur colère, les manifestants ont prévu une casserolade, c’est-à-dire qu’ils taperont sur des casseroles dans la rue. Vincent Galtier espère qu’un collectif naîtra à l’issue de cette manifestation.

    Des rassemblements sont aussi organisés dans de nombreuses villes françaises : Lyon, Marseille, Bordeaux, Toulouse, Rennes ou Saint-Omer.

     


  • Présidentielle 2017: Où en sont les «petits» candidats dans leur course aux 500 parrainages?

    ELYSÉE Certains candidats ne sont pas assurés d'obtenir les 500 signatures d'élus requises pour la course à l'Elysée...

     

    Michèle Alliot-Marie, Jacques Cheminade, Philippe Poutou et Rama Yade.

    Michèle Alliot-Marie, Jacques Cheminade, Philippe Poutou et Rama Yade. - UGO AMEZ/SIPA // POL EMILE/SIPA // THOMAS SAMSON / AFP // FRANCOIS GUILLOT / AFP

    Laure Cometti

    Combien seront-ils à avoir leur nom imprimé sur les bulletins de vote ? Dans un mois, les candidats à l’élection présidentielle devront avoir obtenu, vendredi 17 mars à 18 heures très précisément, 500 signatures d’élus (voir encadré). Un objectif difficile à atteindre pour de nombreux candidats qui ne ménagent pas leurs efforts pour obtenir des promesses de parrainages.

    >> A lire aussi : Inflation de prétendants pour la présidentielle de 2017

    « Il y a plus de réticences des maires »

    Pour certains, la course aux parrainages est un long fleuve tranquille. François Fillon, Benoît Hamon, Jean-Luc Mélenchon, Emmanuel Macron et Marine Le Pen sont certains d’obtenir ce sésame. Pour d’autres prétendants à la présidence, la chasse est loin d’être finie. Du côté de Yannick Jadot, on affirme être tout près du but. « A ce jour, nous avons 465, 470 promesses. On est très confiants, on n’a jamais douté, on en a 5 à 10 de plus par jour », lance Alexis Braud. Le directeur de campagne du candidat Europe Ecoligie Les verts (EELV) confie néanmoins deux nouvelles difficultés par rapport à la dernière élection présidentielle : « on a 200 élus de moins et il y a plus de réticences des maires, qui se sentent de plus en plus éloignés de la politique nationale », observe-t-il auprès de 20 Minutes.

    Pour d’autres candidats, le défi s’annonce plus ardu, quand bien même ils l’auraient relevé il y a cinq ans. Philippe Poutou, candidat du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) en 2012, a même lancé un appel dans un clip humoristique publié le 31 janvier. « On a avancé depuis : on approche des 300 promesses de signatures », explique Cathy Billard, en charge des parrainages. « La situation politique est plus tendue qu’en 2012 et certains élus ne veulent parrainer personne, par colère envers la classe politique », rapporte-t-elle à 20 Minutes.

    Tous se disent « confiants »

    Michèle Alliot-Marie, qui a annoncé sa candidature le 8 décembre 2016, disait à l’époque à 20 Minutes avoir réuni 250 promesses, « sans faire aucune démarche ». A ce jour, elle « ne souhaite pas communiquer avant d’avoir atteint 800 promesses papier », indique Ouest-France.

    A la tête de La France qui ose, Rama Yade revendiquait un peu plus de 350 parrainages à la mi-janvier.

    Plus en difficulté, Charlotte Marchandise, finaliste de la primaire citoyenne en ligne (Primaire.org), revendique 300 promesses de signatures, dont 42 assurées.

    Mystère sur les chiffres

    D’autres candidats préfèrent rester vagues et ne pas communiquer de chiffres. « Cela avance comme il y a cinq ans et nous sommes confiants », précise à 20 Minutes Pierre Royan de Lutte ouvrière, le parti de la candidate Nathalie Arthaud.

    Dans le camp de François Asselineau, on entretient le mystère. « Le candidat de l’UPR aura la primeur de divulguer cette information lors d’une conférence de presse le 3 mars », affirme Karim Sehrane, au service presse.

    Nicolas Dupont-Aignan ne communique pas de chiffres non plus. « Ce n’est pas gagné parce qu’il peut toujours y avoir des pressions sur des maires », confiait le candidat de Debout la France le 2 février sur BFMTV.

    Candidat en 1995 et 2012, Jacques Cheminade s’est à nouveau lancé dans la campagne. « Nous avons 450 engagements sur l'honneur, et 150 personnes en attente. On est bien parti », estime Karel Vereycken, porte-parole du candidat de Solidarité et progrès.

    Les élus qui parrainent un(e) candidat(e) devront adresser, à partir du 25 février, un formulaire au Conseil Constitutionnel (CC). Pour la première fois, cette course à aux parrainages sera publiée sur le site du CC. Le nombre et les noms des parrains des candidats seront actualisés deux fois par semaine, le mardi et le vendredi.

    En 2012, 29 candidats ayant au moins recueilli un parrainage valide ont été disqualifiés, faute d’en avoir rassemblé 500.

    Qui peut parrainer un candidat à l’élection présidentielle ?

    Depuis la réforme territoriale, les élus suivants peuvent parrainer un candidat à l’élection présidentielle : maires, maires de communes déléguées, maires délégués des communes associées, maires d’arrondissements de Paris, Lyon, Marseille, présidents des communautés de communes, des communautés d’agglomération, des communautés urbaines et des métropoles, députés, sénateurs, tous les conseillers régionaux et départementaux, les conseillers de Paris, les conseillers des métropoles et ceux de l’assemblée de Corse.

     

     


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    Bardos
    L’église de l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie et le château de Salha.
    L’église de l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie et le château de Salha.
    Blason de Bardos
    Héraldique
    Administration
    Pays Drapeau de la France France
    Région Nouvelle-Aquitaine
    Département Pyrénées-Atlantiques
    Arrondissement Bayonne
    Canton Nive-Adour
    Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays basque
    Maire
    Mandat
    Jean-Paul Diribarne
    2014-2020
    Code postal 64520
    Code commune 64094
    Démographie
    Gentilé Bardoztar
    Population
    municipale
    1 774 hab. (2014)
    Densité 42 hab./km2
    Géographie
    Coordonnées 43° 28′ 32″ nord, 1° 12′ 09″ ouest
    Altitude Min. 0 m – Max. 183 m
    Superficie 42,53 km2
    Localisation

    Géolocalisation sur la carte : France

    Voir la carte topographique de France
    City locator 14.svg
    Bardos
    Liens
    Site web www.bardos.fr

     

     

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 4 253 hectares ; l'altitude maximale est de 186 m, sur la butte de Miremont, où se trouvent un ancien manoir du XIVe siècle ainsi qu'un château d'eau aménagé en belvédère surplombant la vallée de l'Adour.

    Hydrographie

    Les terres de la commune, situées dans le bassin versant de l'Adour, sont arrosées3 par trois affluents de l'Adour : la Joyeuse, la Bidouze et l'Arriougrand.

    Deux ruisseaux tributaires de la Joyeuse traversent également la commune : la Bardolle et le ruisseau du Termi.

    Enfin, deux ruisseaux tributaires de la Bidouze, le Lihoury et le ruisseau d'Armoun, sont aussi présents sur le territoire de Bardos.

    Climat

    Le climat de Bardos, localité située à une vingtaine de kilomètres de la côte basque, est relativement semblable à celui de Biarritz, ci-dessous, avec des précipitations assez importantes : le climat océanique est dû à la proximité de l'océan Atlantique. La moyenne des températures en hiver se situe aux alentours de 8 °C et avoisine les 20 °C en été. La température la plus basse relevée a été −12,7 °C le 16 janvier 1985, et la plus élevée 40,6 °C le 4 août 2003. Les pluies sur la côte basque sont rarement persistantes, excepté durant les tempêtes hivernales. Elles se manifestent souvent sous forme d'averses orageuses intenses et de courte durée.

     


  • Les journalistes parlent d'alliance, de projet commun, comme d'habitude, les vraies questions ne sont pas posées.

    La seule et vraie question :

    lequel de Mélenchon ou Hamon acceptera de se désister au profit de l'autre ?

    Les seules interrogations :

    Si c'est Mélenchon qui se désiste, quelle chance a Hamon d'être au second tour ?

    Si c'est Hamon, quelles chances pour Mélenchon d'être au second tour ?

    Si aucun des deux ne se désiste quelles chances a la gauche d'être au second tour ?

    Commençons par le plus facile,

    Troisième option.

    Si Hamon et Mélenchon se présentent, La gauche n’a à mon avis aucune chance d'être au second tour.

    La première place est acquise, Marine Le Pen fait la course en tête, et le socle de ses électeurs est solide, malgrè les accusations multiples et les affaires en cours, sa popularité reste intacte, contrairement à celle Fillon.

    La seconde, et la troisième place de joueraient alors entre Macron et Fillon affaibli par ses démêles juridiques. Si Fillon disparaît au profit d'un plan BIS, Macron sera surement au second tour.

    La rivalité entre Hamon et Mélenchon tue toute éventualité de la gauche au second tour, en partant du principe que Macron l'OPNI (objet politique non identifié) qui fait une ascension christique, et ne veut se situer qu'en dehors des partis, ne peut être considéré comme un candidat de gauche.

    FAITES QUE LES MEDIAS NE M'ABANDONNENT PAS

    http://mobile.lesinrocks.com/2016/12/12/actualite/emmanuel-macron-devenu-meme-11887490/

    Deuxième option

    Si Mélenchon se désiste en faveur de Hamon, les chances de Hamon seraient faibles. Son désir d'être président n'est pas évident, son projet essentiel semble être celui de récupérer le PS . Son projet présidentiel est soit flou soit utopique et mal perçu en général hors de son parti.

    Première option.

    Si Hamon se désiste alors là les choses peuvent changer. Un Mélenchon batailleur, charismatique, bon tribun, récupérant une grande partie des voix de Hamon et des verts et celles du parti communiste, face à un Macron qui est je pense au sommet de ses possibilités et va se trouver devant l'obligation de présenter un programme, face aussi à un Fillon en perte de vitesse pourrait se retrouver au second tour.

    Mélenchon face à Marine Le Pen

    Cette solution balaie tous ceux qui ont été ministres ou exercé des responsabilités depuis 10 ans et qui ont conduit la France au bord du Gouffre.

    La seule Chance pour la Gauche d’être au second tour serait Mélenchon, dixit Mélenchon.

    Déclaration de Mélenchon :

    "Jusqu'à dimanche je suis occupé. Je propose un rendez vous la semaine prochaine soit vendredi, soit samedi, soit dimanche. C'est moi qui propose. Tous ont dit qu'ils présenteraient leur candidature. Mais quand bien même il faudrait une [candidature unique], laquelle ? La mienne".

    La bataille des égos qui se déroule en ce moment prendra-t-elle fin au pour laisser la place à l'intérêt général ?

    Pour prendre la décision sur qui représentera la gauche, il faut que la décision soit prise avant le 21 mars date de publication de liste des candidats.

    Suicide collectif ou sursaut de survie.

    Mélenchon et Hamon, eux seuls ont la réponse.