• Rocade de Bordeaux : le pont d’Aquitaine fermé pour des travaux de nuit les 13 et 14 novembre

    Rocade de Bordeaux : le pont d’Aquitaine fermé pour des travaux de nuit les 13 et 14 novembre

    Des travaux d’entretien sont en cours sur l’ouvrage d’art

    Cela avait déjà été le cas au début du mois d’octobre : le pont d’Aquitaine, sur la rocade bordelaise (A 630), va à nouveau fermer pour deux nuits (les mercredi 13 et jeudi 14 novembre, de 21 heures à 6 heures du matin) afin de permettre des travaux de maintenance et d’entretien de l’ouvrage d’art et de ses abords, annonce la préfecture de la Gironde.

    Très exactement, la rocade extérieure sera fermée entre l’échangeur 2 (Lormont-Croix rouge) et l’échangeur 4 (Bordeaux-Labarde) ; la rocade intérieure sera interdite à la circulation entre les échangeurs 4 et 1 (nœud entre l’A 630/N 230 et l’A 10). Des déviations seront mises en place pour limiter la gêne occasionnée aux usagers, notamment via le pont François-Mitterrand (au sud de Bordeaux) et le réseau de voirie local.

    Les conditions de circulation seront mises à jour en temps réel sur le compte X (ex-Twitter) @BordeauxTrafic.

     

     

     


  • Attentat à la gare Saint-Charles de Marseille : la stèle mémorielle vandalisée

    Le monument, érigé en hommage aux victimes de l’attentat terroriste qui a ôté la vie à deux jeunes femmes dans la gare Saint-Charles en 2017, a été partiellement détruit.

    Par A.B. avec AFP

    Parvis de la gare Saint-Charles, Marseille.

     

    Une stèle installée sur le parvis de la gare Saint-Charles à Marseille rendant hommage aux victimes d'attentats, notamment à deux victimes marseillaises tuées par une attaque au couteau en 2017 revendiquée par l'État islamique, a été vandalisée lundi.

    Sur ce monument érigé en 2018, la plaque où était inscrit « À la mémoire des victimes des attentats terroristes » a été dérobée et son socle vitré, orné d'un drapeau français, présente désormais des traces noires de dégradations par incendie. « Les auteurs sont activement recherchés et devront répondre de leurs actes », a indiqué sur X la préfecture de police des Bouches-du-Rhône qui « condamne avec la plus grande fermeté » cet « acte de vandalisme ». Le préfet de police s'est rendu sur place, « accompagné de la police technique et scientifique », a annoncé la préfecture de police à l'AFP.

    Les enquêteurs vont notamment exploiter les caméras de vidéosurveillance qui surplombent le lieu. Une enquête pour « dégradations par incendie et vol en réunion » a été ouverte par le parquet de Marseille, a indiqué dans l'après-midi le procureur de la deuxième ville de France. Selon des informations de La Provence, un suspect, un SDF de 43 ans, a été interpellé et placé en garde à vue. Peu avant 18 h 30, l'homme avait été localisé aux abords de la gare Saint-Charles.

    Le remplacement de la dalle prévu rapidement

    « S'attaquer à notre mémoire est un acte de lâcheté, une honte que je condamne avec la plus grande fermeté. Dès qu'ils ont été alertés, les services de la ville de Marseille se sont mobilisés, à ma demande, pour remplacer cette plaque mémorielle dans les plus brefs délais », a annoncé sur X le maire divers gauche de la ville, Benoît Payan.

     

    « Révoltant, lâche et immonde ! D'autant plus en ce 11 Novembre, jour symbolique du devoir de mémoire. J'espère que les images de vidéo protection permettront d'identifier et de poursuivre le ou les auteurs de cet acte de saccage de la mémoire des victimes du terrorisme », a estimé sur le même réseau social la présidente divers droite de la métropole Aix-Marseille, Martine Vassal.Le 1er octobre 2017, deux cousines, Laura Paumier, 22 ans, et Mauranne Harel, 20 ans, avaient été poignardées à mort sur le parvis de la gare Saint-Charles par Ahmed Hanachi, Tunisien de 29 ans. L'auteur de l'attaque avait été abattu par les forces de l'ordre. L'attentat avait été revendiqué, « opportunément » selon les enquêteurs, par le groupe État islamique, mais aucun lien n'avait été établi entre le tueur et l'organisation djihadiste.


  • Pourquoi plus personne (ou presque) ne souhaite faire tomber Michel Barnier

    Licenciements annoncés, grogne sociale de tous côtés, syndicats remontés, le gouvernement Barnier est menacé. Mais qui aurait envie de le remplacer ?

     

     

     

    C'est reparti pour un tour. En cet automne compliqué, alors que même le ministre de l'Industrie, Marc Ferracci, prévoit « la disparition de milliers d'emplois », chacun montre sa mauvaise humeur. Les cheminots, les agriculteurs, les fonctionnaires – la liste s'allonge tous les jours – affichent leurs revendications dans une conjoncture plus morose que jamais. Pour Michel Barnier, qui peine déjà à boucler le budget, le ciel s'assombrit encore.

    Les réflexes de Pavlov sont de retour. Sophie Binet, patronne de la CGT, réclame un « moratoire sur les licenciements », fléchant sans surprise les responsables, évidemment les chefs d'entreprise qui gaveraient leurs actionnaires de dividendes avec les subventions de l'État. Les dirigeants agricoles pourfendent l'Europe et ses noirs desseins, à comm...


  • dimanche 17 novembre 2024 à 10h

    Participez au prochain Ğmarché à St-Caprais-de-Bordeaux (33)

     


  • Les grues cendrées de retour au dortoir de la Réserve de Cousseau

    Les grues cendrées de retour au dortoir de la Réserve de Cousseau

     

    La réserve, en libre accès, prévoit un accueil naturaliste tous les samedis jusqu’en février

    Depuis quelques semaines, les grues cendrées ont entamé leur migration du sud de l’Europe vers le nord. Après avoir passé les Pyrénées, elles s’accordent une pause dans les zones naturelles et marécageuses des Landes et de Gironde placées sur leur route migratoire. En Gironde, elles s’observent et s’écoutent facilement à la Réserve naturelle nationale de l’étang de Cousseau, dans le Médoc, de novembre à février. Au crépuscule ou à l’aube, elles reviennent des zones agricoles à l’ouest des lacs de Carcans-Hourtin et de Lacanau où elles ont passé la journée à la recherche de nourriture, et se posent sur leur dortoir fait de pièces d’eau et d’anciennes digues. L’an passé, plus de 13 000 avaient été observées jusqu’en février, date de leur voyage vers leurs terres de nidification, les pays scandinaves, la Pologne, les pays baltes…

     

     

    La réserve, en libre accès, prévoit un accueil naturaliste tous les samedis jusqu’en février, à partir de 14 heures et jusqu’à la tombée de la nuit. C’est gratuit. Un agent de la réserve est présent au belvédère (à 3 km à pied depuis le parking) pour renseigner le public. Une longue-vue et des jumelles sont mises à disposition.

     


  • Bordeaux : un rassemblement pour la paix et la mémoire lors de la commémoration de l’Armistice

    Bordeaux : un rassemblement pour la paix et la mémoire lors de la commémoration de l’Armistice

     

    Un rassemblement a été organisé ce 11 novembre, place Jean-Jaurès à Bordeaux, pour la paix immédiate

    « La guerre, un massacre de gens qui ne se connaissent pas, au profit de gens qui se connaissent mais ne se massacrent pas. » Les vers du poète Paul Valéry résonnent, ce lundi 11 novembre à 14 h 30, place Jean-Jaurès à Bordeaux à l’occasion de la commémoration de la fin de la Première Guerre mondiale. Ils étaient une quarantaine à participer au rassemblement, organisé depuis dix ans par l’Association républicaine des anciens combattants, La Libre Pensée, le Mouvement de la Paix, l’Union pacifiste et l’Appel des Cent.

     

    Brigitte est « horrifiée de la situation actuelle » : « Mes grands-pères ont fait la guerre et je ne peux pas imaginer qu’un jour, on puisse y envoyer mes petits-enfants. » Les revendications des mobilisés sont nombreuses : ils s’opposent à l’économie de l’armement et au déploiement du Service national universel, demandent la réhabilitation des « fusillés pour l’exemple », la paix immédiate et durable en Ukraine-Russie et au Moyen-Orient et Proche-Orient… Et l’installation d’une plaque commémorative en hommage à Jean Jaurès, sur la place qui porte son nom.