Les Piments Masqués organisent leur prochaine soirée concerts :
Chili Party !
samedi 9 novembre à partir de 19h à Captieux !
Au programme :
- Electro Magma : Trip Hop Incandescent
- Zocco Baia : Cocktail Italo Tropical
- E@R : Electro Acoustic Riff
Et entre chaque concerts :
- Maudy Frime Selecta : Dj set ( Drop in Caravan )
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Toute la soirée nous accueillerons en EXPO Les Images d'Antonin Lantidote, créateur de plusieurs affiches de nos événements dont celui-ci ! Ses illustrations seront aussi en vente à son stand!
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PAF 8€
Bar 100% local
Restauration maison par notre super équipe de choc
Stand de sérigraphie par Hans, avec possibilité de ramener ses t-shirts, sweats et autres supports pour les personnaliser sur place !
Coin enfants (mais pas garderie!!!)
Pensez à prendre votre gobelet, à covoiturer, et à faire garder vos chiens, chats, tigres, ours et autres bébêtes sympas
Nos réparateurs bénévoles seront dans les locaux du FabLab de Cap Sciences le samedi 26 octobre, de 14 heures à 18 heures, pour vous aider à redonner vie à votre petit électroménager et vos appareils électriques.
Le FabLab de Cap Sciences est situé situé Hangar 20, Quai de Bacalan, au pied du Pont Jacques-Chaban-Delmas.
Attention évènement à ne pas manquer !! Philippe Maurice et Capitaine accostent à la Fabrique Pola le vendredi 25 octobre pour nous faire (beaucoup) rire, chanter et gagner des lots déjantés ! Une ambiance et énergie folles impulsées par ce duo, des lots à gagner à chaque chanson, un public participatif incroyable (oui, toi !), et tout ça pour soutenir une association de sauvetage en mer : l'association SOS MEDITERRANEE... Une soirée que tu n'oublieras pas de sitôt donc !
Entrée 8€ / 4€ pour les -12 ans. Places limitées à 150 personnes.
Bordeaux : le trafic reprend sur les lignes C et D du tram, après un colis suspect à la gare
Un colis suspect a été retrouvé à la gare Saint-Jean ce lundi 7 octobre dans la soirée. Le trafic sur les lignes C et D du tramway a été perturbé à partir de 19 heures environ et durant une partie du début de soirée
Le trafic a été perturbé sur les lignes C et D du tramway ce lundi 7 octobre en début de soirée. Un colis suspect a été retrouvé à la gare Saint-Jean. Les forces de l’ordre se sont rendues sur place et une intervention des démineurs a été nécessaire pour prévenir tout risque. Des rubans de sécurité ont notamment été installés pour bloquer l’accès à la gare.
Le temps de l’intervention, la ligne C du tram a été interrompue entre les arrêts Saint-Michel et Pyrénées et la ligne D entre Saint-Michel et Carle Vernet à partir de 19 heures environ et durant une partie du début de soirée.
Le projet, porté par l’association Les Petites cantines, vise à créer du lien social dans ce nouveau quartier de la rive droite. D’ici l’ouverture en avril 2025, les bénévoles cherchent encore des soutiens financiers
D’aucuns qualifieront le projet d’utopique, arguant d’une société individualiste et consumériste. Pourtant, déjà 14 Petites cantines ont démontré la viabilité de leur modèle économique en France, quand 17 autres sont en cours de création. Dont une à Bordeaux.
Plus qu’un restaurant d’une cinquantaine de couverts, Les Petites cantines de Bordeaux, c’est un projet associatif où chacun, s’il le désire, peut mettre la main à la pâte avant le repas, ou donner de son temps après le service, voire simplement déjeuner et ainsi soutenir le projet. Bref, participer de manière bénévole à faire vivre un lieu où, certes, on se restaure, mais où, surtout, on crée du lien entre habitants d’un même quartier. Ce qui prend tout son sens dans ce secteur en devenir de la rive droite.
Pour en être, il suffit d’adhérer à l’année à l’association Les Petites cantines. Le montant de la cotisation au réseau national est libre et donne droit d’accès à toutes Les Petites cantines de France. La suite est en fonction de la volonté de chacun de prendre part à la dynamique du lieu.
Une alimentation saine
« Chaque jour, quatre à cinq bénévoles seront nécessaires pour préparer le déjeuner », explique Nadège Giamarchi, l’une des porteuses du projet bordelais. Autour du responsable de cantine, seul salarié de l’association, chacun se verra affecter une tâche pour préparer entrée, plat et dessert du jour.
« C’est ce qui est génial, de se retrouver ainsi tous ensemble autour d’une fiche recette, en ayant bien conscience que personne n’est plus qualifié qu’un autre et que tout le monde a sa place, même si c’est seulement pour passer un coup de balai après le service », relève Nadège Giamarchi, qui espère accueillir les personnes âgées de la résidence seniors. Si avec Manon Toeriman, autre porteuse du projet bordelais, elles ont déjà concocté un cahier de recettes, l’intérêt participatif est aussi qu’il puisse « s’enrichir des connaissances et de la culture de chacun et se nourrir de la mixité sociale ».
Chaque consommateur est libre de régler en fonction de ses moyens et de ses envies de soutenir la structure
Seuls impératifs pour les menus : « qu’ils respectent les saisons », soient élaborés avec des produits sourcés et de qualité, « idéalement bio », et principalement végétariens, « même s’il y aura parfois de la viande, pour ceux qui n’y ont pas accès », énumère Nadège Giamarchi.
Car l’une des vocations des Petites cantines est aussi d’offrir un accès à une alimentation saine à tous les budgets. Ainsi, à l’arrivée de l’addition, « la contribution est libre », selon les statuts de l’association. Pour éclairer les consommateurs, chaque repas fera l’objet d’une communication sur le coût des ingrédients, la part salariale et les charges. Après, à chacun de régler en fonction de ses moyens et de ses envies de soutenir la structure.
Financement participatif
Le restaurant qui ouvrira en avril sera dans un premier temps accessible du mardi au vendredi pour les déjeuners. L’association prévoit également d’organiser ponctuellement des soirées et de développer une fois par mois un brunch dominical. Mais pour l’heure, les membres de l’association sont « au cœur de la structuration financière » du projet évalué à 185 000 euros. Outre la participation déjà acquise des collectivités locales, Les Petites cantines recherchent des mécènes privés « qui pourront défiscaliser leur participation », souligne à toutes fins utiles Nadège Giamarchi. Comme cela est également le cas pour les particuliers contribuant à la campagne de financement participatif en cours sur J’adopte un projet.
Cette part du financement vise à équiper les cuisines et aménager le local, loué à Domofrance à partir de janvier, et situé en rez-de-chaussée des immeubles de la rue Henri-Dunant. Au total, 100 m² offrant deux espaces distincts en plus du restaurant, dont Nadège Giamarchi annonce qu’ils « pourront être loués ou privatisés pour des événements d’entreprises ». Une autre source de revenus pour faire vivre l’association et le restaurant au quotidien.
Les Petites cantines démontrent ainsi que si la cuisine est avant tout un acte de partage, le restaurant peut aussi devenir un lieu solidaire. Et peut-être même l’épicentre d’un nouveau quartier autour duquel il créera son identité propre.
Un avant-goût le 12 octobre
Dans le cadre du festival culinaire Bon, qui se tient du 7 au 13 octobre à Bordeaux, Les Petites cantines poseront leurs marmites à la Fabrique Pola, le temps d’un déjeuner samedi 12 octobre. Que vous soyez un as de l’économe ou juste désireux de découvrir le concept, un torchon à la main, rendez-vous dès 9 h 30 pour l’atelier de cuisine participatif (sur inscription), ou à midi si vous souhaitez seulement participer à cette tablée éphémère.
Jazz à Bordeaux : Hiromi revient à l’Opéra dans une veine plus funk
La pianiste japonaise connue pour son parcours aux frontières du jazz et du classique sera vendredi 11 octobre à l’Auditorium, cette fois avec un quartet aux sonorités plus électriques
Technique impressionnante, science harmonique, phrasés véloces, swing : on avait apprécié Hiromi en 2019, programmée par L’Esprit du piano à l’auditorium de l’Opéra voire quelques années plus tôt à Jazz in Marciac. On va la retrouver ce vendredi 11 octobre à l’auditorium de Bordeaux, riche des mêmes qualités, mais cette fois dans un répertoire électrique. On connaissait la pianiste japonaise autant marquée par Ahmad Jamal ou Oscar Peterson que par Maurice Ravel, on va l’entendre cette fois dans des sonorités plus funkies.
Sonicwonder, son nouveau quartet, mobilise un bassiste électrique (le Français Hadrien Feraud), un batteur (Gene Coye) très présent sur le tandem grosse caisse-caisse claire, mais un trompettiste utilisant le registre medium bas de son instrument, dans l’héritage de Freddie Hubbard : Adam O’Farrill, petit-fils du fameux chef d’orchestre cubain Chico O’Farrill. Un mélange atypique qui permet à Hiromi de faire mieux que singer le jazz-rock des années 70-80. Son invention mélodique et son humour font le reste.