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    L'Île-aux-Moines [ilomwan] est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne.

    Elle est constituée de l'île aux Moines, la plus grande île du golfe du Morbihan, de l'île de Creizic, de l'île d'Holavre, et des deux îles de Brouël.

    Île-aux-Moines
    Le port.
    Le port.
    Blason de Île-aux-Moines
    Blason
    Administration
    Pays Drapeau de la France France
    Région Bretagne
    Département Morbihan
    Arrondissement arrondissement de Vannes
    Canton Vannes-2
    Intercommunalité Golfe du Morbihan - Vannes agglomération
    Maire
    Mandat
    Philippe Le Berigot
    2014-2020
    Code postal 56780
    Code commune 56087
    Démographie
    Gentilé Îlois, Îloises
    Population
    municipale
    606 hab. (2014)
    Densité 189 hab./km2
    Population
    aire urbaine
    126 266 hab.
    Géographie
    Coordonnées 47° 35′ 51″ nord, 2° 50′ 36″ ouest
    Altitude Min. −1 m – Max. 31 m
    Superficie 3,20 km2
    Localisation

    Géolocalisation sur la carte : France

    Voir la carte topographique de FranceCity locator 14.svgÎle-aux-Moines
    Liens
    Site web http://www.mairie-ileauxmoines.fr/ [archive]
     

     

     

    Toponymie

    Le nom breton de la commune est Enizenac'h, plus communément Izenah.

    Elle fut appelée successivement Crialeis (« croix courte ») en 856 dans le cartulaire de Redon sous la forme « Crialeis, id est enes-manac ad faba », puis Enez manac'h(graphie du XIe siècle: Enest Manach), qui donna la contraction du breton actuel en Enizenac'h. « Île-aux-Moines » n'est que la traduction littérale du breton.
    Son nom provient du fait qu'elle fut propriété des moines de l'abbaye Saint-Sauveur de Redon, bien qu'aucun d'entre eux n'y vint habiter[réf. nécessaire].

    Géographie

    L'Île-aux-Moines est située dans le golfe du Morbihan. Elle mesure km de long sur 3,5 km de large pour une superficie de 310 ha. Sa forme est celle d'une croix et aucun point de l'île n'est situé à plus de 450 m de la mer.

    On peut y accéder en cinq minutes depuis Port-Blanc, à Baden.

    Le conservatoire du littoral a acquis en 1980 la pointe méridionale de l'île, la pointe de Penhap qui est gérée par la commune.

    C'est un site protégé à cause de sa végétation de type méditerranéen.

    Histoire

     

    L'Île-aux-Moines est habitée depuis l'époque néolithique comme l'attestent les dolmens encore visibles ainsi que d'autres vestiges. Des traces d'occupation à l'époque gallo-romaine ont également été découverts au bourg.

    En 854, le roi de Bretagne Erispoë en fit don à l'abbaye de Saint-Sauveur de Redon (créée par son père, Nominoë). Elle sert alors de grenier pour l'abbaye.

    Après les invasions normandes du xe siècle, l'île est rattachée à la paroisse d'Arradon.

    En 1543, elle fut élevée au rang de paroisse.[réf. souhaitée]

    En 1792, elle devient une commune sous le nom francisé d’Isle-aux-Moines1. Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom d’Isle-du-Morbihan1.

    Traditionnellement, les jeunes filles avaient le droit de choisir elles-mêmes leur mari car l'économie de l'île reposait largement sur leurs épaules, du fait du grand nombre de marins au long cours fournis par l'île.

    Aujourd'hui, on y trouve une association marine. La pointe de Penhap est une des bases de Jeunesse et Marine, une organisation qui permet aux jeunes de pratiquer toutes sortes de voiliers.

     


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    Habitat coopératif

    Une autre idée du logement !

    Mutualiser les espaces, rendre le logement abordable et s’inscrire dans une démarche citoyenne, l’habitat coopératif se fonde sur une nouvelle manière de concevoir le logement.

    habitat coopératifBègles s’inscrit dans cette perspective et lance un projet sur son territoire, en partenariat avec l’établissement Public d’Aménagement Bordeaux-Euratlantique et la Société Coopérative de Production HLM, Axanis.

    Sur une parcelle de 1390m2, située derrière le stade Moga, dans le périmètre de l’Opération d’intérêt national Bordeaux-Euratlantique, une dizaine de ménages sont invités à concevoir ensemble un immeuble d’habitation qui réponde aux besoins de chacun.

    Les partenaires ont missionné un assistant à maîtrise d’ouvrage, Cerises, qui est chargé d’animer et d’accompagner un groupe de personnes volontaires à constituer. Composée de professionnels pluridisciplinaires (économistes, juristes, architectes…), Cerises assure une aide technique en agissant comme intermédiaire entre le groupe d’habitants, les partenaires institutionnels et les architectes et notaires. Cette structure de conseil forme également les futurs résidents pour qu’ils soient ensuite autonomes dans la gestion de leur lieu de vie. La livraison des logements et l’aménagement des coopérateurs devrait se faire dans trois ans.
    Aujourd’hui, plusieurs villes, comme Nanterre, Strasbourg ou Villeurbanne, se lancent dans cette expérience.

    Prochains rendez-vous : Toutes les 2 semaines, de 18h30 à 20h30 au Parc de l’Intelligence Environnementale.
    213, cours Victor Hugo
    33130 Bègles

    Service logement de la mairie de Bègles
    Tél. : 05 56 49 88 88.

     

     

     

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    Le ministère de la Transition écologique et solidaire est, en France, l’administration française chargée de préparer et mettre en œuvre la politique du Gouvernement dans les domaines du développement durable, de l’environnement et des technologies vertes, de la transition énergétique et de l'énergie, du climat, de la prévention des risques naturels et technologiques, de la sécurité industrielle, des transports et de leurs infrastructures, de l'équipement et de la mer. Il est dirigé par le ministre de l’Environnement, de l’Énergie et de la Mer, membre du gouvernement français.

    Depuis le 17 mai 2017, Nicolas Hulot est ministre de la Transition écologique et solidaire.

    Le ministre et son cabinet occupent l’hôtel de Roquelaure, au numéro 246 du boulevard Saint-Germain à Paris. L'administration centrale du ministère est implantée à La Défense dans l'arche de la Défense et dans la tour Séquoia.

     

     

    Ministère de la Transition écologique et solidaire
    Image illustrative de l'article Ministère de l'Écologie (France)

    Création 1830 : ministère des Travaux publics
    1966 : ministère des Transports
    1971 : ministère de l'Environnement
    2007 : ministère de l'Écologie et du Développement durable
    2012 : ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie
    2016 : ministère de l’Environnement, de l'Énergie et de la Mer
    2017 : ministère de la Transition écologique et solidaire
    Type Ministère français
    Siège Hôtel de Roquelaure
    246, boulevard Saint-Germain
    Paris 7e
    Langue français
    Budget 15,763 milliards d’euros (2016)1
    Effectifs 34 486 (2014)2
    Ministre Nicolas Hulot
    Personnes clés Brice Lalonde
    Corinne Lepage
    Dominique Voynet
    Roselyne Bachelot
    Jean-Louis Borloo
    Nathalie Kosciusko-Morizet
    Ségolène Royal
    Organisations affiliées Gouvernement de la République française
    Site web www.ecologique-solidaire.gouv.fr [archive]

     


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    Histoire démographique des Amérindiens

     

    'histoire démographique des Amérindiens est marquée profondément par les premiers contacts avec des explorateurs européens qui ont amené avec eux des maladies contagieuses de l'Ancien Monde (Europe, Asie et Afrique) contre lesquelles les indigènes n'étaient pas immunisés. Le déclin démographique très important dû à ce choc viral commence au début du xvie siècle : sans équivalent dans l'histoire du monde, il correspond parfois à la dévastation d'ethnies entières. Il est accentué par des guerres parfois criminelles et une oppression de la part des colons européens qui ignorent largement la tragédie biologique et culturelle qui se joue. Aujourd'hui, la plupart des Amérindiens peuvent mieux se protéger et se battent efficacement pour leurs droits dans les pays où ils sont minoritaires ;[réf. nécessaire] la population est à nouveau en augmentation même si sa part dans la population totale de l'Amérique reste très faible. La situation des Indiens nomades d'Amazonie reste toutefois très fragile sinon préoccupante, en raison de l'exploitation de leurs terres par des intérêts privés, malgré la médiatisation de quelques cas tels celui des Awá, du peuple Kayapos représenté par son chef Raoni, ou encore celui de la tribu des Guarani-Kaiowá.

     

    Évaluer l'histoire de la démographie amérindienne met en jeu plusieurs difficultés : confiance à accorder aux chiffres anciennement avancés, choix de méthodologie de reconstitution des populations anciennes. Pour les données récentes, le principal écueil est celui de la définition de ce qu'est un amérindien.

     

    Les données les plus anciennes, issues des colonisateurs, conquérants ou missionnaires, et revues par des démographes, étaient non seulement incomplètes, mais aussi manipulées dans un objectif idéologique, afin de défendre une version plus acceptable ou au contraire moins acceptable de la colonisation ; selon l'historienne Élise Marienstras, la « démographie a été utilisée, manipulée même, au service d'une certaine conception de la colonisation »1.

     

    Le choc viral et bactérien

    Sans pouvoir préciser avec certitude l'ampleur de l'impact des maladies infectieuses chez les Amérindiens, le taux de mortalité aurait atteint 90 pour cent pour certaines populations durement affectées. Les Amérindiens, qui n'étaient pas immunisés contre des virus et maladies comme la coqueluche, la rougeole ou la variole qui sévissaient depuis des millénaires dans l'Ancien Monde, auraient été foudroyés par des épidémies plusieurs décennies avant que des colons arrivent dans des territoires apparemment peu peuplés de l'intérieur. N'ayant aucune connaissance sur les virus à l'époque, les Européens n'ont donc aucunement profité en connaissance de cause des faiblesses immunitaires des populations autochtones. Le processus a commencé dès les années 1500 et a emporté des centaines de milliers de vies.

    En 1520 et 1521, une épidémie de variole toucha les habitants de Tenochtitlan et fut l’un des principaux facteurs de la chute de la ville au moment du siège. En effet, on estime entre 10 à 50 % la part de la population de la cité qui serait morte à cause de cette maladie en deux semaines. Deux autres épidémies affectèrent la vallée de Mexico : la variole en 1545-1548 et le typhus en 1576-1581. Les Espagnols, pour compenser la diminution de la population, ont rassemblé les survivants des petites villes de la vallée de Mexico dans de plus grandes cités. Cette migration a brisé le pouvoir des classes supérieures, mais n’a pas dissous la cohésion de la société indigène dans un Mexique plus grand.

    Les épidémies de variole, de typhus, de grippe, de diphtérie de rougeole, de peste auraient tué entre 50 et 66 % de la population indigène selon les régions de Amérique latine8.

    En 1617-1619, une épidémie de peste bubonique ravage la Nouvelle-Angleterre. Le bilan de ces épidémies est difficile à donner avec exactitude. Les sources sont inexistantes et les historiens ne sont pas d'accord sur les estimations. Certains avancent 10 millions d'Amérindiens pour tout le continent ; d'autres[Qui ?] pensent plutôt à 90 millions, dont 10 pour l'Amérique du Nord. Le continent américain entier (de l'Alaska au Cap Horn) aurait abrité environ 50 millions d'habitants en 1492 ; pour comparaison, il y avait 20 millions de Français au xviie siècle. Les chiffres avancés pour le territoire des États-Unis d'aujourd'hui sont compris entre 7 et 12 millions d'habitants. Environ 500 000 Amérindiens peuplaient la côte Est de cet espace. Ils ne sont plus que 100 000 au début du xviiie siècle. Dans l'Empire espagnol, la mortalité des Amérindiens était telle qu'elle fut l'un des motifs de la traite des Noirs, permettant d'importer dans le « Nouveau Monde » de la main-d'œuvre pour les mines et les plantations.

    Guerres, massacres, réduction en esclavage

     

    Beaucoup d'Amérindiens ne vivaient pas de façon pacifique avant la colonisation européenne, et celle-ci ne se réduit pas à une série d'atrocités. Pourtant elle a parfois mené à des massacres en temps de conquête et de guerre, touchant davantage les autochtones que les colons, et à des formes plus ou moins sévères et mortifères d'oppression des indigènes en temps de cohabitation. La plupart des historiens considèrent que le phénomène meurtrier a contribué au désastre démographique : il ne peut pas expliquer le brusque déclin, qui doit d'abord être imputé aux épidémies, mais il est une cause évidente de la disparition des ethnies les plus touchées par le choc viral, ainsi que de leur culture.

    Les Taïnos des grandes Antilles ont disparu à cause des effets conjoints des maladies, des guerres et des maltraitances. En Amériques Centrale et du Sud, beaucoup d'Indiens furent exploités dans des mines et des plantations, parfois réduits en esclavage quand ils voulaient résister à la déculturation et à l'ethnocide qui étaient des constantes coloniales. L'esclavage a sévi au xvie siècle au Mexique, pays très touché par les épidémies, bien que le pape Paul III ait condamné cette pratique dans la bulle Sublimis Deus.

    De nombreuses tribus d'Amérique du Nord furent repoussées dans des conditions déplorables hors des terres colonisées, parfois vers des territoires ou des réserves peu propices à l'agriculture ou à l'extraction forestière et minière. Les nombreuses guerres indiennes réparties sur deux siècles ont accompagnées les déplacements de population. Quelques dirigeants, au Texas ou en Californie par exemple, insatisfaits par le nettoyage ethnique, engagèrent des guerres d'extermination durant lesquelles des actes génocidaires furent commis.

     

     

     

     

     

     


  • L'humour est une forme d'esprit railleuse « qui s'attache à souligner le caractère comique, ridicule, absurde ou insolite de certains aspects de la réalité ».

    L'humour est distingué par plusieurs concepts : c’est un langage, mais aussi un moyen d’expression. Il joue un rôle essentiel dans l’équilibre de la personne, il libère les tensions et préserve notre santé. L’humour peut être employé dans différents buts et peut, par exemple, se révéler pédagogique ou militant. Sa forme, plus que sa définition, est diversement appréciée d'une culture à l'autre, d'une région à une autre, d'un point de vue à un autre, à tel point que ce qui est considéré par certains comme de l'humour, peut être considéré par les autres comme une méchante moquerie ou une insulte.

    L'humour permet à l'homme de prendre du recul sur ce qu'il vit, comme le soulève Joseph Klatzmann dans son ouvrage L'Humour juif en souhaitant « rire pour ne pas pleurer ». Plus pessimiste, Nietzsche affirme « L'homme souffre si profondément qu'il a dû inventer le rire », se rapprochant du cynisme.

     

     


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    Delhi (hindi : दिल्ली (Dillī), ourdou : دہلی ou دلّی, pendjabi : ਦਿੱਲੀ) est une ville d'Inde du Nord. Elle abrite en son sein New Delhi, la capitale du pays.

    Delhi est située sur les bords de la rivière Yamuna, et est depuis longtemps une ville importante, placée sur les routes de commerce du nord-ouest aux plaines du Gange. Elle a été la capitale historique de plusieurs empires indiens. Delhi est notamment rattachée à l'Empire moghol en 1526 après la victoire du prince Bâbur face au dernier sultan de Delhi. Les Moghols établissent leur capitale dans la partie de la ville maintenant connue comme le Vieux Delhi (Old Delhi). Elle reste capitale jusqu'en 1707 et la défaite des Moghols face aux Marathas. Au début du xxe siècle, pendant la colonisation britannique, le gouvernement britannique décide de déplacer la capitale de Calcutta, jugée trop excentrée, vers la ville de Delhi : New Delhi est ainsi construite au sud de la vieille ville et devient la capitale de l'Empire britannique des Indes en 1911. En 1947, l'Inde indépendante confirme New Delhi comme capitale du nouveau pays : New Delhi, situé au sein du territoire de la Capitale nationale, accueille les institutions du gouvernement central de la République d'Inde, y compris le Parlement.

    Delhi est constituée en un territoire de la Capitale nationale de Delhi (anglais : National Capital Territory of Delhi) doté de sa propre assemblée législative. Le territoire se compose de cinq administrations municipales (New DelhiDelhi EstDelhi NordDelhi Sud et le Cantonnement de Delhi) et compte en tout 16,7 millions d'habitants1. L'agglomération de Delhi compte au total 25 millions d'habitants, ce qui en fait, en 2015, la quatrième plus peuplée du monde2.

    Comme beaucoup d'autres grandes villes de pays en développement, Delhi souffre de problèmes d'urbanisation tels que la pollution, les embouteillages et la pénurie des ressources.

     

    Delhi
    दिल्ली / ਦਿੱਲੀ / دِلّی
    Emblème
    Emblème
    Localisation du territoire en Inde.
    Localisation du territoire en Inde.
    Administration
    Pays Drapeau de l'Inde Inde
    Capitale New Delhi
    Langue officielle Hindi
    Lieutenant-gouverneur Anil Baijal
    Ministre en chef Arvind Kejriwal
    Démographie
    Population 16 787 941 hab. (2011)
    Densité 11 320 hab./km2
    Rang 18e
    Géographie
    Superficie 1 483 km2
    Rang




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