• Au cœur des conversations secrètes entre Elon Musk et Vladimir Poutine

    The Wall Street Journal
    Les contacts réguliers entre l’homme le plus riche du monde et la bête noire de l’Amérique font trembler les services de sécurité. De quoi parlent-ils ? De géopolitique, de business et de leurs vies privées
     
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    Les contacts réguliers entre Elon Musk et Vladimir Poutine font trembler les services de sécurité américains.  -  Alexandra Citrin-Safadi/WSJ

    Homme le plus riche du monde et maillon indispensable de la chaîne spatiale américaine, Elon Musk est régulièrement en contact avec Vladimir Poutine depuis fin 2022.

     
     
     

  • En Gironde, pour se nourrir, les étudiants peuvent acheter des paniers paysans à moitié prix

     

    En Gironde, pour se nourrir, les étudiants peuvent acheter des paniers paysans à moitié prix

     

    Grâce au drive fermier de la Chambre d’agriculture de Gironde, des jeunes peuvent bénéficier d’un « soutien gourmand » à moitié prix, de novembre à février

    « C’est du gagnant-gagnant. » La formule est un peu éculée mais elle résume bien l’action lancée, pour la seconde fois, par la Chambre d’agriculture de Gironde. De novembre à février 2025, les étudiants, sur présentation de leur carte, peuvent acheter des « paniers fermiers » à moitié prix. Garnis de produits frais (légumes, viande, fromage…), ils leur sont vendus à 10 euros. De leur côté, les 42 producteurs régionaux de ce « drive fermier » peuvent écouler leur production en sensibilisant les jeunes aux vertus des « circuits-courts ».

    Les agriculteurs ne perdent pas d’argent dans cette opération : ils touchent bien 20 euros par panier. Soit le même prix que celui proposé aux particuliers. Les 10 euros manquants sont compensés par le Fonds d’initiatives Lafite. En faisant l’appoint, l’association caritative des Domaines Barons de Rothschild Lafite entend ainsi « accompagner les initiatives locales, notamment en direction des plus fragiles ». Ici, en l’occurrence, il s’agit des étudiants qui ne « sont pas épargnés par une inflation qui grève les porte-monnaie », tel que le souligne la Chambre d’agriculture.

    L’envie de cuisiner

    Le lancement de ce dispositif s’est déroulé à Bordeaux Sciences agro, au campus de Pessac-Gradignan. Pour l’occasion, fermiers et futurs ingénieurs agronomes ont pu se rencontrer. « Cela me permet de faire connaître mes produits », commente Fabienne Grosz, de la Ferme du Baruteau, installée en Lot-et-Garonne, à Brugnac. Elle-même a noté que l’un de ses fils, étudiant, a perdu du poids : « Il ne s’achète jamais à manger. » « Quand on est étudiant, on ne met pas forcément d’argent dans la nourriture, lui répond Émilie, 20 ans, étudiante à Bordeaux Sciences agro. Le logement, les transports, les activités sportives et de loisir sont la priorité. »

    À Bordeaux Sciences agro, lors du lancement des « paniers fermiers étudiants », des agricultrices ont présenté leur circuit-court.À Bordeaux Sciences agro, lors du lancement des « paniers fermiers étudiants », des agricultrices ont présenté leur circuit-court.

    S. D.

    La Chambre d’agriculture de Gironde en a bien conscience. C’est pourquoi, précise une de ses représentantes, l’idée des paniers est aussi de donner aux jeunes « l’envie de cuisiner, de les habituer à faire l’effort d’acheter des produits bruts, non transformés. Et avec ce drive, ils mettent les pieds dans les circuits-courts. » Ce à quoi souscrit Léonie, 20 ans, qui suit des études d’ingénieur agricole : « C’est un geste citoyen avec une dimension éthique en faveur des agriculteurs : à la base, ce sont eux qui nous nourrissent ! »

    Offre limitée

    En pratique, les étudiants, comme le font les usagers classiques de ce système de livraison (1), passent commande sur le site du drive fermier Gironde avant le mercredi minuit, pour récupérer leur panier le vendredi dans l’un des sept points de retrait situé à Eysines, Lormont, Bordeaux Chartrons, Bordeaux Palais de Justice, Floudès, La Réole et Gradignan (au cœur du campus).

    « Quand on est étudiant, on ne met pas forcément d’argent dans la nourriture »

    Aussi louable qu’elle soit, cette initiative est néanmoins assez limitée dans son ampleur : elle concerne 30 paniers par semaine. « Mais nous pouvons prolonger davantage l’opération », précise Karine Briane, responsable développement durable aux Domaines Barons de Rothschild Lafite. D’autres mécènes qui souhaiteraient participer à cette opération sont évidemment les bienvenus.

    (1) Lequel est très similaire à celui des Associations pour le maintien d’une agriculture paysanne (Amap).

     
     
     
     
     

  • Confluence rock profite d’un long week-end pour organiser non pas une mais deux soirées. Un Rock sans chaînes deuxième du nom prévu vendredi 1er et samedi 2 novembre

     

    Libourne : une déferlante rock va souffler à la salle du skatepark

    En cet automne, une déferlante rock va souffler les vendredi 1er et samedi 2 novembre à la salle du skatepark de Libourne. Confluence rock y tiendra la deuxième édition de Rock sans chaînes. « Pour prévoir nos soirées et avoir le temps d’installer notre décoration, le plus simple, ce sont les vacances scolaires car l’espace jeunes [l’autre nom de la salle, NDLR] est fermé le samedi. Et quand on a remarqué qu’il y avait un jour férié en plus, on a saisi l’occasion », confie David Fongaufier, l’un des coprésidents.

    Nouriture, un show total

    La programmation balance entre groupes locaux et d’autres plus lointains. La première soirée aura une teinte noise. Elle débutera avec Screaming Bellies, savant mélange de noise et surf music et dont le guitariste est Libournais. « C’est frais et instrumental », résume David Fongaufier. Suivra Gliitch, un nouveau groupe dont deux membres font partie de feu Black Bass Festival. Low Rent Housing, originaire de Tours, terminera la soirée. « On a été démarché par leur label et on a bien accroché musicalement et humainement. »

    Le lendemain, les réjouissances rock débuteront avec Castro Camera. Du post-rock, « plutôt ambiant et instrumental », porté par un duo guitare/batterie. Elles se poursuivront avec Nouriture et leur voyage interstellaire. Un set de quatre-vingts minutes lors duquel des vidéos sont projetées sur les musiciens. « C’est un groupe de Paris qui cherchait une date car ils partent jouer en Espagne. » Leur prestation semble être un show total, influencé musicalement par Frank Zappa, Ni ou encore les Melvins.

    Enfin, Kyle mettra un bruyant point final. Un groupe de noise composé, entre autres, de deux ex-membres de Sleepers, un nom qui résonne aux oreilles des initiés. Avec, entre chaque groupe, des galettes servies par Ben alias 213, un passionné de vinyles. Côté nourriture, comme toujours, le fait maison prime avec, au menu, saucisses lentilles le vendredi et waterzoï de poulet le samedi, sans oublier de savoureux gâteaux.

    De 19 heures à minuit. Tarif : 8 euros par soir, 14 euros les deux soirs. Billetterie sur HelloAsso.


  • Les Restos du cœur ont besoin de chauffeurs en Gironde

    Les Restos du cœur ont besoin de chauffeurs en Gironde

     

    Si elles ne peuvent être livrées, les denrées alimentaires ne profitent pas aux démunis. L’association lance un appel au bénévolat

    À l’approche de leur campagne d’hiver, les Restaurants du cœur de la Gironde ont besoin de conducteurs. Ils viennent de lancer un appel à bénévolat pour conduire leurs camionnettes depuis leur siège départemental situé à Bruges, près de Bordeaux, jusqu’aux 42 centres qui maillent le territoire girondin.« Il nous manque six chauffeurs. Il n’est pas nécessaire d’avoir un permis spécial pour conduire nos véhicules », indique la responsable départementale des Restos, Françoise Casadebaig. « Pour l’instant, les autres bénévoles font un peu plus de trajets que prévu et, au bout du compte, ce sont les adhérents qui sont pénalisés. »

    Campagne d’hiver

    Les départs de Bruges se font à 8 heures Le conducteur assure le transport mais ne gère pas le chargement et le déchargement. Certains centres de dépôt sont assez éloignés de Bruges : Pauillac dans le Médoc, Captieux en Sud-Gironde, Pineuilh dans le Pays Foyen, ou bien Blaye en Haute Gironde.

    La campagne d’hiver des Restos du cœur débutera officiellement le 18 novembre. Durant cette période particulière, l’activité de l’association de lutte contre la précarité augmente. Elle enregistre davantage d’inscriptions de foyers dans le besoin. « C’est en partie lié à la fin des petits boulots d’été, des personnes ont moins de revenus, explique la présidente départementale. Nous avons 21 000 bénéficiaires en Gironde, un chiffre en constante hausse. »

    Engagement humain

    La collecte départementale, qui s’est déroulée fin septembre, a renfloué les centres d’approvisionnement, et les dons (denrées alimentaires non périssables et produits d’hygiène) sont toujours acceptés. Mais pour qu’ils soient distribués, il faut qu’ils soient acheminés à bon port.

    « Plus que jamais, le modèle d’organisation et économique des Restos du cœur repose sur la vitalité et l’engagement humain, celui des 70 000 bénévoles réguliers qui permettent le bon fonctionnement de l’association dans tous les lieux Restos », rappellent les responsables nationaux de l’association.

     


  • Il avait demandé à l’un de ses clients de se masturber dans son cabinet, un avocat de Bordeaux radié

    Il avait demandé à l’un de ses clients de se masturber dans son cabinet, un avocat de Bordeaux radié

     

    Décision rare, qui constitue la sanction disciplinaire la plus lourde : récemment, un avocat bordelais a été radié pour avoir adopté un comportement pour le moins inadapté avec l’un de ses clients, qu’il suivait dans une procédure de divorce

    C’est une histoire singulière qui circule ces derniers temps dans les couloirs du palais de justice de Bordeaux : la radiation d’un avocat du barreau bordelais à qui il était notamment reproché d’avoir demandé à un client de se masturber dans les toilettes de son cabinet. Cette décision de radiation a été prise il y a quelques mois par le conseil régional de discipline près la cour d’appel de Bordeaux – qui réunit des représentants élus des conseils de l’ordre du ressort de ladite cour (barreaux de Bordeaux, Bergerac, Charente, Périgueux et Libourne). L’avocat concerné avait fait appel, mais s’est récemment désisté, a-t-on appris auprès du parquet général de Bordeaux. Une audience doit se tenir mi-novembre pour entériner ce désistement.

    L’affaire éclate en 2022. Un justiciable saisit la bâtonnière de Bordeaux de l’époque, pour un différend avec son avocat qui le suit dans une procédure de divorce, Romain Pagnac – connu par ailleurs pour avoir été premier adjoint au maire du Pian-Médoc et élu communautaire, jusqu’en 2020. L’homme, chef d’entreprise, expose un litige pour le moins surprenant. Il affirme que, lors de rendez-vous avec son conseil, ce dernier l’aurait enjoint à se masturber dans les toilettes de son cabinet pour réaliser un soi-disant test de paternité et lui aurait également prélevé de l’épiderme, au niveau d’un bras, pour un soi-disant test ADN. En outre, il accuse son avocat d’avoir confectionné une fausse convocation en justice pour lui faire croire que son dossier avançait.

    « Atteinte à la profession »

    La plainte est prise au sérieux et la bâtonnière déclenche aussitôt une enquête déontologique. Au vu des éléments recueillis, elle engage, en sa qualité d’autorité de poursuites, une action disciplinaire. Le conseil régional de discipline est saisi, une audience se tient, lors de laquelle Romain Pagnac est assisté d’un avocat. La décision de sa radiation du tableau de l’Ordre, sanction la plus lourde dans le panel des sanctions disciplinaires, tombe en 2024. « Les faits, reconnus et graves, portaient une atteinte importante à la profession d’avocat. Ce travail d’autorégulation était nécessaire », expliquent plusieurs sources proches du dossier, sous couvert d’anonymat.

    Une enquête pénale est également ouverte, en 2023, par le parquet de Bordeaux et des investigations sont confiées à la police judiciaire. Renvoyé en comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité pour la fausse convocation en justice, Romain Pagnac est condamné à de la prison avec sursis.

    J’ai fini par lui lancer : « Si tu es certain de ne pas être le père, fais un test de paternité »

    Contacté par « Sud Ouest », il admet avoir formulé « une demande indécente » à l’un de ses clients et l’explique par « un moment de colère ». « Ce client n’acceptait pas l’idée que j’engage son divorce en évoquant un enfant dont son ex disait qu’il était le père. J’ai fini par lui lancer : ‘‘Si tu es certain de ne pas être le père, fais un test de paternité’’ et je lui ai fait cette demande totalement indécente en mon cabinet. C’était une erreur. » Sur la fausse convocation, il la justifie « par la pression et le harcèlement » de son client, pour savoir où en était son dossier, et précise avoir été condamné au pénal « uniquement pour cela, à quatre mois de prison avec sursis ».

    Maintenant qu’il n’est plus avocat, bien qu’une voix féminine réponde « Cabinet de MPagnac, bonjour » quand on appelle ses bureaux, il assure ne plus exercer. « Mes dossiers sont repris par des confrères. »

     

     


  • Politique à Bordeaux : quand le maire écologiste Pierre Hurmic fait évaluer son bilan par les anciens de l’ère Juppé

    Politique à Bordeaux : quand le maire écologiste Pierre Hurmic fait évaluer son bilan par les anciens de l’ère Juppé

    Le maire a voulu savoir ce que les anciens élus pensent de l’évolution de la ville. Ils le lui ont dit, certains sont mitigés, d’autres plus laudateurs. Mais ils ne voient pas vraiment la droite reprendre la Ville en 2026

    Pierre Hurmic marche dans les pas de Jacques Chaban-Delmas. Pour garder sous la main les anciens de son camp écartés du pouvoir par les aléas de la vie politique, l’ex-maire de Bordeaux avait créé un « conseil des anciens élus ». Jugée inutile, l’instance avait été supprimée par Alain Juppé. Ce vendredi 25 octobre, elle était de retour. Le maire a réuni dans la salle du conseil municipal une quarantaine d’anciens élus, principalement ceux de la période Juppé (1995-2019). Et quasiment tous de droite.

    L’initiative a fait grincer quelques dents du côté de l’actuelle opposition. Plusieurs ont refusé de venir, deux l’ont fait savoir vertement au maire. Lui se défend de toute récupération politique, à deux ans des municipales de 2026 : « Je ne cherche aucune validation de l’ancienne majorité. Les échanges ont parfois été musclés, je ne cherche la caution de personne, sauf celles des électeurs. On me dit que cette réunion arrive tard ou trop tôt… Pendant les deux ans qui restent, on dira de tout que ce n’est pas le bon moment. Ce qui m’intéresse, c’est de savoir comment ces élus qui ont beaucoup servi la ville la voient évoluer, comment ils perçoivent les changements. »

    Dans les salons du Palais Rohan, Pierre Hurmic en grande conversation avec Stéphan Delaux, qui fut l’un des plus fidèles adjoints d’Alain Juppé.Dans les salons du Palais Rohan, Pierre Hurmic en grande conversation avec Stéphan Delaux, qui fut l’un des plus fidèles adjoints d’Alain Juppé.

    D. L.

    « Le moins mauvais des maires »

    En tout cas, les anciens élus avaient l’air ravis de l’invitation, à commencer par l’ancien maire Hugues Martin. « C’est une excellente initiative, on s’est retrouvés dans un cadre républicain avec beaucoup de plaisir. On a dit au maire ce qu’on pense de sa gestion, on a surtout parlé sécurité, logement, circulation. Les débats étaient très apaisés, mais ce n’est pas un blanc-seing pour Hurmic. Aux prochaines élections, j’espère qu’il y aura un bon leader pour la droite. Pour l’instant, elle ne l’a pas », explique-t-il. Quant à l’action du maire, il la juge sans sévérité : « Ça pourrait être pire, c’est le moins mauvais des maires écologistes. Il est surtout environnementaliste, il n’y a pas eu de ravages comme à Grenoble. »

    « Si l’opposition est désunie, Pierre Hurmic a toutes les chances d’être réélu dès le premier tour »

    Dans les salons d’honneur du Palais Rohan, les anciens retrouvent pour quelques heures la maison qu’ils ont fréquentée pendant des années. « C’est émouvant de revenir ici, on y a passé beaucoup de temps, des moments importants de nos vies », souffle Jean-Charles Palau, ex-adjoint de Juppé aux finances (1995-2014). Il estime qu’Hurmic est en train de « marquer l’aménagement du territoire avec sa stratégie de végétalisation », mais aimerait que le principe de sobriété s’applique aux finances. Palau a demandé au maire d’assouplir les procédures d’urbanisme : « Les promoteurs disent que c’est un casse-tête de construire à Bordeaux. »

    Ex-députée UMP, Chantal Bourragué a passé trente-quatre ans de sa vie politique à la mairie de Bordeaux. Elle se dit inquiète sur les questions de sécurité, se demande « comment les gens d’un certain âge pourront se déplacer si on ne peut plus circuler en voiture ». Elle se dit « très mitigée » sur l’actuelle majorité, juge le coût de la végétalisation astronomique.

    Emmanuelle Cuny, adjointe à l’éducation (1995-2014), a interpellé le maire sur la sécurité et l’armement de la police municipale. « Je n’ai pas eu de réponse. » Pas de réponse non plus sur les difficultés économiques du commerce de centre-ville ou le déplacement des paquebots de croisière. « La ville est en train de se replier sur elle-même, rien n’est fait pour attirer les familles », déplore-t-elle.

    La meilleure solution : « garder Hurmic »

    Mais c’est avec l’actuelle opposition que les ex sont les plus sévères, notamment pour ce qui est de rependre la mairie en 2026. « Si l’opposition est désunie, Pierre Hurmic a toutes les chances d’être réélu dès le premier tour, estime Jean-Charles Palau. Même unie, c’est pas gagné, car la sociologie de la ville a beaucoup changé. Maintenant, il y a des angles morts dans la politique d’Hurmic, sa vision de la politique n’est pas la mienne. L’entre-soi, c’est pas mon truc. Une ville doit s’ouvrir et se développer, donc l’opposition peut proposer un projet alternatif. »

    Élu de 2008 à 2014, Jean-François Berthou pense que « Hurmic repassera. Il n’est pas clivant, pas détesté, et les challengers n’ont pas l’envergure. »Le centriste Alain Dupouy, ex-adjoint aux relations internationales (1995-2001 et 2008-2015), va plus loin : « Je ne pense pas que l’actuelle opposition peut reprendre la mairie car elle est divisée, il n’y a pas une personne qui se détache. Il faudrait qu’ils se mettent d’accord entre eux. Elle est un peu agressive, ce qui n’apporte rien. » De toute façon, Hurmic lui convient : « J’ai découvert son équipe aujourd’hui, des gens très compétents, une belle équipe. Sur les relations internationales, le service n’a peut-être jamais été aussi bien géré. Finalement, la meilleure solution ne serait-elle pas de garder Hurmic ? »