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    ça va chauffer en france. les français en on marre d'être spolier

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    Hausses d’impôts : les Français craignent d’être tous concernés et refusent qu’on taxe leur épargne

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    Publié le 07/10/2024 à 10:41 , mis à jour à 15:16
     
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    l'essentielÀ l’approche de la présentation du projet de budget par Michel Barnier ce jeudi, l’Ifop publie une enquête sur les projets fiscaux gouvernementaux qui met en lumière un fort soutien à la taxation des plus riches et des entreprises, y compris parmi les sympathisants de la majorité présidentielle, mais aussi un large scepticisme quant à l’engagement gouvernemental d’épargner les classes moyennes de ce tour de vis fiscal.

    Le projet de loi de finances 2025 sera présenté mercredi 10 octobre en Conseil des ministres par Michel Barnier. Si le Premier ministre se garde de donner le détail des mesures, on sait d’ores et déjà que le gouvernement veut trouver 60 milliards d’économies : 40 grâce à des baisses de dépenses publiques et 20 grâce à des hausses d’impôts. Si la taxation des plus riches et des entreprises sont plébiscitées par les Français, ces derniers craignent qu’à terme, tout le monde soit impacté et pas seulement les retraités dont l’indexation des pensions, qui devait intervenir le 1er janvier 2025, sera décalée de six mois.

    La crainte d’un grand tour de vis fiscal

    "La crédibilité du gouvernement en matière de protection fiscale des classes moyennes et populaires reste faible. 74 % des Français ne croient pas que ces catégories seront épargnées par les hausses d’impôts, contre 88 % en 2012. Ce scepticisme, bien que moins marqué, reste présent chez les sympathisants de la majorité présidentielle (56 %). Il est particulièrement fort dans les catégories populaires (79 %) et chez les électeurs de Marine Le Pen au premier tour de la présidentielle 2022 (81 %)", explique François Kraus, directeur du pôle « Actualités et politique » à l’Ifop.

     

    Hausses d’impôts : les Français craignent d’être tous concernés et refusent qu’on taxe leur épargneHausses d’impôts : les Français craignent d’être tous concernés et refusent qu’on taxe leur épargne DR

     

    Le doute est tout aussi prononcé concernant la protection des "travailleurs". "77 % des Français ne pensent pas que les personnes en activité professionnelle seront épargnées par les hausses d’impôts, y compris 60 % des sympathisants de la majorité présidentielle. Ce manque de confiance atteint 79 % chez les actifs eux-mêmes et 63 % chez les électeurs d’Emmanuel Macron en 2022", détaille l’Ifop.

     

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    Enfin, la crainte d’une hausse des impôts personnels est largement répandue, y compris au sein de l’électorat macroniste. "82 % des Français craignent que leurs impôts augmentent l’an prochain, dont 38 % qui le craignent "beaucoup". Cette inquiétude est particulièrement forte chez les actifs (84 %), les catégories populaires (85 %) et surtout dans les rangs des personnes situées dans les ménages aux plus hauts revenus (95 %)."

    Pas touche à l’épargne

    Les mesures fiscales visant les hauts revenus et les grandes entreprises recueillent donc un large soutien : 74 % des Français sont favorables à une hausse d’impôts sur les ménages les plus aisés, dont 80 % des sympathisants de la majorité présidentielle. Et 81 % des Français soutiennent une augmentation des impôts sur les grosses entreprises, y compris 84 % des sympathisants de la majorité présidentielle.

     

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    Mais d’autres mesures évoquées ne passent pas, notamment concernant l’épargne. "Les Français s’opposent massivement à une taxation accrue de l’épargne populaire. 66 % sont défavorables à une taxation supplémentaire des plans d’épargne type PEA ou PER, et 63 % à celle des contrats d’assurance-vie. Cette opposition est partagée par les sympathisants de la majorité présidentielle (63 % et 69 % respectivement). Elle est particulièrement forte chez les détenteurs de ces produits : plus de sept détenteurs de produits d’épargne sur dix (ex : PEA, assurance-vie, actions…) s’y opposent", indique l’Ifop.

    Le paradoxe de l’opinion publique

    "Cette enquête sur la taxation des plus riches met en lumière le fossé existant sur le sujet entre les positions hostiles de certains leaders de la majorité présidentielle (ex : Gabriel Attal, Gérald Darmanin) et leurs électeurs beaucoup plus favorables à une hausse ciblée de la pression fiscale", estime François Kraus. "Mais cette étude révèle aussi un paradoxe dans l’opinion publique, y compris au sein de l’électorat macroniste. D’un côté, on observe un large soutien à l’augmentation de la fiscalité pour les plus riches et les grandes entreprises. Et de l’autre, on constate une forte inquiétude quant à une possible hausse des impôts personnels et un rejet marqué de toute augmentation de la taxation de l’épargne populaire."

    "Cette tension entre la volonté de faire contribuer davantage les plus aisés et le refus de voir sa propre situation fiscale se dégrader place le gouvernement face à un défi de taille : comment réformer la fiscalité tout en rassurant les classes moyennes et en préservant l’épargne des Français ? La réponse à cette équation sera cruciale pour l’acceptabilité sociale des futures réformes fiscales."

    Étude Ifop pour Yomoni réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 1er au 2 octobre 2024 auprès d’un échantillon de 1 000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

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  • Érosion sur la rive droite bordelaise : Floirac a mal au coteau

     

    Érosion sur la rive droite bordelaise : Floirac a mal au coteau

    En plusieurs endroits de la ville, éboulements et mouvements de terrain se succèdent sur terrains privés ou voirie publique. Avec l’urbanisation et le réchauffement climatique en arrière-plan

    11 novembre 2023. Dans la nuit, Carole Castéra se lève pour aller boire un verre d’eau dans la cuisine, dont la fenêtre donne sur le coteau qui borde les maisons de l’avenue François-Mitterrand. « Le gros rocher juste à côté de la grotte était tombé », s’étonne-t-elle encore. La chute n’endommage pas la maison mais il s’en est fallu de quelques centimètres. « Nous habitons depuis trente ans dans cette maison où mon mari a grandi, jamais nous n’avions assisté à ça. Depuis quelques années par contre, nous connaissons des inondations dans la partie basse de la maison lors de gros orages. »

    L’avenue François-Mitterrand est l’un des axes routiers qui relient bas et haut de la ville à travers le coteau, ici en fond de jardin de plusieurs habitations. Décor magique mais aujourd’hui dangereux. « La mairie a été très réactive », souligne son mari, Franck. Dans le mois, passage d’expert et devis de premiers travaux qui sont réalisés en juillet : nettoyage de la végétation (coupe d’arbres menaçants notamment) et pose d’un filet métallique de protection. « Nous avons étendu l’étude et les travaux de protection aux propriétés voisines », indique le maire Jean-Jacques Puyobrau. En conseil municipal 30 septembre, les élus ont provisionné 400 000 euros pour l’ensemble de ces travaux préventifs. Le lundi suivant, ils ont commencé chez les voisins des Castéra.

    Après ceux de juillet au n°36, des travaux de protection ont commencé ce lundi derrière les maisons voisines.Après ceux de juillet au n°36, des travaux de protection ont commencé ce lundi derrière les maisons voisines.

    Y.D.

    Côte de Monrepos fermée jusqu’en avril

    Restera à déterminer la propriété du terrain et donc la responsabilité juridique et financière. Au sommet du coteau au-dessus des riverains et au milieu des années 2010 ont fleuri Les terrasses de Bel-Air, lotissement de 139 appartements. L’urbanisation de ce morceau de coteau, jadis propriété individuelle de la famille Dulong, a-t-elle joué dans sa fragilisation ? En conseil, le maire évoque l’importante pluviométrie récente et la hausse moyenne des températures, mais aussi la notion d’avance avant remboursement des tiers propriétaires et la possibilité de contentieux pour lesquels sont aussi provisionnés 100 000 euros. Un expert judiciaire est sur le dossier.

    Un mur de soutènement avenue Lasseuguette présente lui aussi des signes de fragilité.Un mur de soutènement avenue Lasseuguette présente lui aussi des signes de fragilité.

    Y.D.

    Les soucis du coteau de Floirac ne se situent pas que dans ce secteur où d’ailleurs un mur de soutènement le long des Terrasses de Bel Air montre des signes de faiblesse avenue Jean-Lasseuguette. On en trouve un autre d’envergure sur la côte de Monrepos où mur de soutènement et talus se sont affaissés une première fois en avril dernier. Selon la mairie de Floirac, un deuxième glissement de terrain s’est produit ensuite, arbres et roches recouvrant aujourd’hui presque toute la chaussée.

    « Les causes du sinistre résultent de la combinaison des pluies ayant eu lieu à cette période et des travaux réalisés en tête de talus par le propriétaire sur le domaine privé », selon Bordeaux Métropole. « Des travaux en pied de talus et de drainage du terrain ont été préconisés par le bureau d’études. L’expertise entre assureurs est actuellement en cours. » Les travaux commenceront ensuite. Dans l’attente, la voirie reste fermée à la circulation… jusqu’au 8 avril 2025, comme en atteste un arrêté sur site.

    La côte de Monrepos est interdite à la circulation jusqu’en avril 2025.La côte de Monrepos est interdite à la circulation jusqu’en avril 2025.
    Y. D.

    Chemin des plateaux aussi

    Une dernière zone de fragilité récente est enfin recensée au début du Chemin des plateaux, grimpant le coteau au droit du quartier de l’Arena. Un mur de soutènement y est ici aussi balisé, avec un léger rétrécissement de la chaussée. D’après la mairie, Bordeaux Métropole attend d’acquérir le fond supérieur du terrain attenant pour y réaliser des travaux de confortement. « Depuis plusieurs années, nous refusons des permis de construire à des projets risquant de fragiliser le coteau », tient à préciser le maire de Floirac.

    Au pied du Chemin des plateaux, l’éboulement est également craint.Au pied du Chemin des plateaux, l’éboulement est également craint.
    Y. D.

    La collectivité s’apprête à saisir l’État et ses services pour étudier plus généralement ce coteau de Garonne. Entre l’affaissement – côté parc Palmer – de la côte des Quatre-pavillons, à Cenon, et l’éboulement dans le vieux Lormont l’année dernière, le balcon rocheux serpentant la rive droite urbaine de Bassens, à Bouliac, montre depuis dix ans des signes de faiblesse, entre urbanisation et réchauffement climatique.

    Le maire de Floirac Jean-Jacques Puyobrau, ce 30 septembre.Le maire de Floirac Jean-Jacques Puyobrau, ce 30 septembre.
    Y. D.

    Nouveaux élus, électricité et habitat

    Le dernier conseil municipal floiracais a accueilli deux nouveaux élus suite aux décès de l’adjoint Jean-Michel Meyre et de la démission de Muriel Sola-Ribeiro : il s’agit de Florent Napol et Sandrine Tignol. L’assemblée a également acté ce 30 septembre le transfert de la compétence éclairage public au Syndicat départemental Énergies et Environnement de la Gironde (Sdeeg), ainsi que le lancement d’une opération programmée d’amélioration de l’habitat (OPAH) sur les lotissements de Bourbon 1 et 2 (178 logements).
     
     
     
     
     

  • Bordeaux : une jeune femme handicapée bloquée dans son appartement à cause d’un ascenseur en panne depuis le 19 juin

     

    Par Alexis Cadard - TV7
    Publié le 14/10/2024 à 13h53.
    • Gégénérative, Luna est bloquée chez elle à cause d’une panne d’ascenseur dans son immeuble à Lormont, près de Bordeaux

  • Comment ouvrir une huître avec une carte de crédit ? La réponse en vidéo d’un champion du monde

     

    Comment ouvrir une huître avec une carte de crédit ? La réponse en vidéo d’un champion du monde

     

    Le Comité national de la conchyliculture a publié une vidéo de la performance

    Ouvrir une huître, un casse-tête pour beaucoup de gourmets ? Plus maintenant. Alors que la semaine de l’huître, un événement organisé par le Comité national de la conchyliculture (CNC) afin de montrer la diversité des huîtres françaises, touchait à sa fin, l’écailleur girondin Marcel Lesoille a démontré, lors d’une soirée à la brasserie Chouette, à Paris, que l’ouverture des huîtres n’avait rien d’insurmontable. Même sans couteau spécifique : en quelques fractions de seconde, sous les yeux des invités médusés, l’écailleur a simplement ouvert son huître avec une carte de crédit. La preuve a été postée, en vidéo, sur les réseaux sociaux du CNC.

     
     
     
     
     
     
    Comité National de la Conchyliculture 
     
    @CNCFrance
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    Comment ouvrir une huître avec une carte de crédit !!! C'était hier soir à la brasserie Chouette à Paris dans le 15e. Dégustation d'huîtres gratuites avec le CNC et le célèbre écailler Marcel Lesoille. #semainedelhuitre
     
     
     
     
     
     
     
    Il faut dire que Marcel Lesoille n’est pas n’importe qui : champion et recordman du monde d’ouverture d’huîtres creuses, il est capable d’ouvrir 2 064 huîtres à l’heure.
     
     
     

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    bruno lemaire et le pouvoir d'achat n1.

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    Le ministre de l'Economie était l'invité de l'émission politique de France 2 jeudi soir. Il a notamment fait le point sur l'inflation alimentaire, le pouvoir d'achat et les objectifs de croissance pour l'année à venir.
    Le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, lors de l'émission "L'Evénement, l'interview" sur France 2, le 28 septembre 2023. (FRANCE 2 / FRANCE TELEVISIONS)

    Il se veut résolument optimiste pour l'année à venir, tant sur le front de l'inflation que pour la croissance française. Bruno Le Maire s'est échiné à défendre les décisions budgétaires du gouvernement, jeudi 28 septembre sur France 2, lors de l'émission "L'Evénement, l'interview". Vingt-quatre heures après la présentation du budget 2024, le ministre de l'Economie a promis une baisse des prix alimentaires, tout en affirmant que "les Français ne s'appauvrissent pas". Franceinfo résume ce qu'il faut retenir de cet entretien avec la journaliste Caroline Roux.

    Inflation : la France ne retrouvera pas "les prix d'avant" sur les produits alimentaires

    "Je pense que l'année 2024 sera meilleure que l'année 2023", a expliqué Bruno Le Maire, ajoutant qu'il s'attendait à un reflux des prix "importants" dans les prochains mois. "Regardez les minimas sociaux, ils sont tous indexés sur l'inflation. Regardez les retraites" , a-t-il ajouté. Au sujet de l'augmentation des prix de l'alimentation, le ministre a admis qu'ils ne reviendraient pas "aux prix d'avant" la crise, mais il a de nouveau redit sa volonté que "les prix puissent décélérer et aller à la baisse". Le ministre a détaillé son "objectif" "que l'argent n'aille pas dans les marges des distributeurs ou des industriels, mais dans les [baisses de] prix en rayons".

    "Nous avons décidé d'avancer les négociations entre les producteurs et les distributeurs", a rappelé Bruno Le Maire, dans l'optique que "les prix baissent dès janvier""J'ai des centaines d'agents qui vont s'occuper des marges (...) des contrôles de prix dans les rayons et veiller aux marges", a également affirmé le ministre, interrogé sur les mesures de contrôle mises en œuvre par le gouvernement. Bruno Le Maire a fait référence à la mise en place de l'Observatoire des prix et des marges et au travail de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF).

    Baisse du pouvoir d'achat : "la première réponse" est "le travail"

    Le ministre de l'Economie a rejeté une nouvelle fois la proposition d'indexer les salaires sur l'inflation, jugeant qu'une telle mesure ferait "augmenter le chômage". "La première des réponses au pouvoir d'achat, à la crainte sur les prix, à la crainte sur le niveau de vie, c'est le travail", a-t-il expliqué avant de lister les mesures de soutien mises en place par le gouvernement pour les ménages, notamment le nouveau chèque carburant à 100 euros(Nouvelle fenêtre) pour 50% des Français qui ont besoin de leur véhicule afin de se rendre au travail. 

    Sur la question de l'augmentation des salaires, Bruno Le Maire a affirmé que "les Français ne s'appauvrissent pas", expliquant qu'ils "ont des revenus qui augmentent régulièrement année après année". Le ministre a toutefois expliqué qu'"ils se sont appauvris relativement à deux autres grandes nations", citant l'exemple des Allemands et des Américains. "Je considère que les entreprises ont joué le jeu", a-t-il ajouté, soulignant des augmentations moyennes "de 5%" en 2023 (4,5% en réalité selon un cabinet d'études)(Nouvelle fenêtre).

    Prévisions de croissance : un optimisme affiché pour 2024

    Le ministre de l'Economie a réaffirmé son optimisme quant à la situation économique du pays. Lors de la présentation du budget 2024 mercredi, l'Etat a annoncé tabler sur une croissance de 1,4% pour l'année prochaine. Une prévision jugée "élevée" par le Haut Conseil des finances publiques. La Commission européenne table de son côté sur une croissance française de 1,2%(Nouvelle fenêtre).

    Pas de quoi décourager Bruno Le Maire, qui croit à "une croissance positive, supérieure à celle de 2023""On nous disait : 'En 2023, il y aura une récession partout en Europe, y compris en France.' Moi, je pense qu'on ne croit pas suffisamment dans les talents et les forces de notre économie, de nos salariés et de nos entrepreneurs", a-t-il balayé.

    Transition écologique : la main tendue aux investisseurs privés car l'Etat ne pourra pas tout financer

    Comment financer la transition écologique alors que la France doit se serrer la ceinture ? "Il n'y aura pas d'argent public suffisant", sous peine "d'augmenter les impôts", assure Bruno Le Maire, après la présentation, lundi, de la feuille de route du gouvernement sur le sujet"Nous refusons cette solution", affirme-t-il. Il tend donc la main aux investisseurs privés "qui doivent participer à cette lutte contre le réchauffement climatique".

    Le ministre de l'Economie avait d'ailleurs fait polémique en début de semaine(Nouvelle fenêtre), au sein même de la majorité, après avoir ouvert la porte à un report de l'interdiction des passoires thermiques, prévu au 1er janvier 2025. Sur France 2, il est revenu jeudi soir sur ses propos, insistant sur la nécessité "d'accompagner tout le monde" dans la transition.

    Présidentielle 2027 : Bruno Le Maire a "beaucoup de rêves", mais une seule priorité

    Interrogé sur ses ambitions présidentielles pour 2027, l'ancien candidat à la primaire de la droite a répondu d'un cryptique : "J'ai beaucoup de rêves", avant d'affirmer que sa priorité était l'instant présent, à savoir la lutte contre "la vie chère".

     

    "Il n'y aura personne sur la ligne de départ qui soit capable de l'emporter en 2027 [au sein de son camp] si nous n'avons pas de résultats", a-t-il botté en touche, avant d'affirmer que "c'est le collectif qui gagne, et on verra ce qui se passe".

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    Les deux leaders populistes étaient réunis pour la fête annuelle de la Ligue, le parti de Matteo Salvini.
    Les deux leaders populistes étaient réunis pour la fête annuelle de la Ligue, le parti de Matteo Salvini.
    AFP or licensors

    "S'ils veulent les migrants, qu'ils se les gardent", "écoterroristes" : Salvini et Orban vent debout contre Bruxelles

    L'Italien Matteo Salvini a ressorti sa rhétorique antieuropéenne aux côtés du Hongrois Viktor Orbán, ce dimanche 6 octobre, à l'occasion de la fête annuelle de son parti populiste d'extrême droite, Ligue. Migrants, règles agricoles et écologiques et attaques contre la gauche ont rythmé son discours.

     

    Ça marche toujours : en meeting pour la fête annuelle de la Ligue ce dimanche 6 octobre, Matteo Salvini a tiré à boulets rouges sur la Commission européenne. Accompagné du Premier ministre Hongrois Viktor Orbán, le vice-Premier ministre italien, chef du parti populiste d'extrême droite la Ligue, a attaqué Bruxelles, la qualifiant d’ « écoterroriste » et de « bureaucratique ».

    Turcs, Chinois et multinationales

    « Nous avons le devoir de défendre les entrepreneurs et les agriculteurs italiens dont le travail est mis en danger par les écoterroristes de Bruxelles », a déclaré l’ancien ministre de l’Intérieur italien devant des milliers de sympathisants de son parti réunis à Pontida, dans le nord du pays. Notoirement opposé aux politiques vertes de la Commission européenne, Matteo Salvini a accusé Bruxelles de « vouloir fermer les élevages et les usines pour rendre un service peut-être aux Turcs, aux Chinois et aux multinationales »« Nous sommes ici pour défendre le travail et les efforts des Européens et des Italiens », a-t-il ajouté.

    À LIRE AUSSI : Coincée entre von der Leyen et Salvini, Meloni isolée à Rome comme à Bruxelles

    Pour ajouter de la force à son rassemblement, l’Italien a fait du Premier ministre hongrois Viktor Orbán son invité d’honneur, lequel s’est exprimé à l’aide d’un interprète italien qui lisait son discours. Également en froid avec la Commission et le Parlement européen, le dirigeant a profité de l’occasion pour s’en prendre, lui aussi, aux institutions européennes, et rappeler son refus d’accueillir des migrants : « Nous ne renoncerons jamais à notre liberté et nous ne céderons jamais nos pays aux étrangers. Nous ne cédons nos pays ni aux bureaucrates de Bruxelles, ni aux puissances financières, ni aux migrants »

    À LIRE AUSSI : Européennes : déçus de Salvini, entrepreneurs… comment Meloni a voulu élargir sa base

     

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    Le chef du gouvernement hongrois a également fustigé la récente décision de la Commission européenne de réduire les prochains paiements de l’Union européenne en faveur de la Hongrie, afin de récupérer 200 millions d'euros d'amende pour non respect des traités en matière de droit d'asile, que Budapest refuse de régler : « Ensemble, la gauche européenne et les bureaucrates de Bruxelles punissent la Hongrie […] car nous ne faisons pas entrer les migrants illégaux, parce que nous défendons l'Europe, c'est une honte. Mais je vais vous dire une chose, s'ils continuent à nous punir, nous transporterons les migrants de Budapest à Bruxelles, nous les laisserons devant les bureaux des Bruxellois, s'ils veulent les migrants, qu'ils se les gardent.

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