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SciencesPo et l’islamo-gauchisme: ne m’appelez plus «école libre»
Sciences Po a oublié sa raison d'être : la transmission du savoir dans la pluralité des idéesPour mesurer la dérive de Sciences Po, il faut souligner ce paradoxe : censé former les nouvelles élites, l’institut nourrit les populismes qui prétendent les combattre. Débordée par le conflit israélo-palestinien, la direction n’est plus capable de maîtriser une école noyautée par la gauche radicale – des activistes qui marient wokisme et islamisme, jusqu’aux frontières de l’antisémitisme. Hier héraut du dégagisme, Jean-Luc Mélenchon pratique désormais l’entrisme. En attisant la haine entre étudiants réduits à une appartenance communautaire, il croit pouvoir précipiter le chaos. Et qu’importe s’il fait le jeu de l’autre extrême, à droite, confortée par l'épouvantail de l’islamo-gauchisme.
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L’Etat prêt à acheter les activités souveraines d’Atos
Bercy compte déposer une offre non engageante d’ici début juin visant les activités les plus sensibles du groupe en pleine restructuration financièreBercy embraye dans le dossier Atos. Afin de sécuriser ses métiers les plus stratégiques touchant à la souveraineté du pays, l’Etat a « déposé ce week-end une lettre d’intention » concernant le rachat d’une partie des actifs aujourd’hui rassemblés dans la filiale du groupe BDS (cybersécurité, big data et supercalculateurs), a annoncé Bruno Le Maire, dimanche soir.